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La nouvelle marque d’accessoires de luxe Oushaba a lancé sa première collection, « Connection Salvaged ». Celle-ci recycle les déchets électroniques et les fusionne avec de l’or et des pierres précieuses pour créer des bijoux haut de gamme.
Si vous croisez quelqu’un avec une carte électronique en guise de pendentif, ne pensez pas qu’il est fou ! il s’agit seulement de la première collection de la marque d’accessoires de luxe londonienne Oushaba. La maison joaillière a en effet lancé une collection de 38 bijoux, intitulée « Connection Salvaged », fabriquée à partir de circuits de téléphones usés, de clés USB et de câbles de chargement.
La collection comprend des colliers, des boucles d’oreilles, des bracelets et des bagues, fabriqués à partir d’or jaune 22 carats ou blanc 18 carats et d’argent. Ces bijoux, ornés de diamants, de rubis, d’émeraudes et de saphirs, semblent tirer leur inspiration des bijoux égyptiens, grecs et romains anciens.
Tout comme les déchets électroniques, l’or et l’argent utilisés dans la fabrication sont issus de déchets industriels recyclés. Les pierres précieuses proviennent, elles, de fournisseurs certifiés par le Responsible Jewellery Council. La marque a également indiqué que les clients ont la possibilité de personnaliser leurs bijoux en utilisant des composants de leurs propres téléphones.
« Nos bijoux sont fabriqués à la main par des orfèvres de troisième génération en Sicile selon des techniques traditionnelles de fonte à la cire perdue et des traditions ancestrales, combinées à des matériaux modernes », précise Oushaba.
Collection durable
En 2019, la quantité de déchets électroniques produits dans le monde a atteint 53,6 millions de tonnes, soit une augmentation de 5% par rapport à 2014. Cette quantité devrait continuer à augmenter et atteindre 74 millions de tonnes d’ici à 2030, selon les projections d’une étude de Global E-waste Monitor de 2020. En outre, le rapport indique que seulement 17,4% des déchets électroniques générés en 2019 ont été recyclés.
Gillian Carr, la cofondatrice d’Oushaba, souligne que de nombreux déchets électroniques finissent dans les décharges et souhaite « remettre en question l’idée que les gens se font de ce qu’est un déchet et de ce qu’est le luxe ». « Ces composants de déchets électroniques sont vraiment beaux, avec des couleurs, des formes et des caractéristiques étonnantes, semblables à celles d’un bijou », ajoute-t-elle.
Les bijoux d’Oushaba proviennent d’ateliers de réparation d’appareils électroniques locaux. Même son packaging est écoresponsable. La marque joaillière a ainsi tenu à ce que chaque pièce commandée soit livrée dans une boîte fabriquée sur mesure, en bois durable ou recyclé, dont l’intérieur est constitué de tissu lui-même récupéré et de liège.
Les pièces sont actuellement vendues en ligne sur le site officiel d’Oushaba et dans la salle d’exposition de la marque à South Kensington, pour des prix allant de 580 à 16 820 euros.
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Photo à la Une : © Oushaba[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row njt-role=”not-logged-in”][vc_column][vc_column_text]
La nouvelle marque d’accessoires de luxe Oushaba a lancé sa première collection, « Connection Salvaged ». Celle-ci recycle les déchets électroniques et les fusionne avec de l’or et des pierres précieuses pour créer des bijoux haut de gamme.
Si vous croisez quelqu’un avec une carte électronique en guise de pendentif, ne pensez pas qu’il est fou ! il s’agit seulement de la première collection de la marque d’accessoires de luxe londonienne Oushaba. La maison joaillière a en effet lancé une collection de 38 bijoux, intitulée « Connection Salvaged », fabriquée à partir de circuits de téléphones usés, de clés USB et de câbles de chargement.
La collection comprend des colliers, des boucles d’oreilles, des bracelets et des bagues, fabriqués à partir d’or jaune 22 carats ou blanc 18 carats et d’argent. Ces bijoux, ornés de diamants, de rubis, d’émeraudes et de saphirs, semblent tirer leur inspiration des bijoux égyptiens, grecs et romains anciens.
Tout comme les déchets électroniques, l’or et l’argent utilisés dans la fabrication sont issus de déchets industriels recyclés. Les pierres précieuses proviennent, elles, de fournisseurs certifiés par le Responsible Jewellery Council. La marque a également indiqué que les clients ont la possibilité de personnaliser leurs bijoux en utilisant des composants de leurs propres téléphones.
« Nos bijoux sont fabriqués à la main par des orfèvres de troisième génération en Sicile selon des techniques traditionnelles de fonte à la cire perdue et des traditions ancestrales, combinées à des matériaux modernes », précise Oushaba.
Collection durable
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La nouvelle marque d’accessoires de luxe Oushaba a lancé sa première collection, « Connection Salvaged ». Celle-ci recycle les déchets électroniques et les fusionne avec de l’or et des pierres précieuses pour créer des bijoux haut de gamme.
Si vous croisez quelqu’un avec une carte électronique en guise de pendentif, ne pensez pas qu’il est fou ! il s’agit seulement de la première collection de la marque d’accessoires de luxe londonienne Oushaba. La maison joaillière a en effet lancé une collection de 38 bijoux, intitulée « Connection Salvaged », fabriquée à partir de circuits de téléphones usés, de clés USB et de câbles de chargement.
La collection comprend des colliers, des boucles d’oreilles, des bracelets et des bagues, fabriqués à partir d’or jaune 22 carats ou blanc 18 carats et d’argent. Ces bijoux, ornés de diamants, de rubis, d’émeraudes et de saphirs, semblent tirer leur inspiration des bijoux égyptiens, grecs et romains anciens.
Tout comme les déchets électroniques, l’or et l’argent utilisés dans la fabrication sont issus de déchets industriels recyclés. Les pierres précieuses proviennent, elles, de fournisseurs certifiés par le Responsible Jewellery Council. La marque a également indiqué que les clients ont la possibilité de personnaliser leurs bijoux en utilisant des composants de leurs propres téléphones.
« Nos bijoux sont fabriqués à la main par des orfèvres de troisième génération en Sicile selon des techniques traditionnelles de fonte à la cire perdue et des traditions ancestrales, combinées à des matériaux modernes », précise Oushaba.
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