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Depuis une dizaine d’années, les sneakers sont devenues des objets de collection. Stylées et convoitées, ces objets ne sont plus une nécessité, mais parfois une œuvre d’art et souvent un très bon investissement.
Une paire de baskets portée par Kanye West vendue 1,8 millions de dollars, une autre appartenant à Michael Jordan adjugée à 1,5 millions de dollars. Ces objets de consommation courante sont devenus en quelques années des machines à performances financières.
Longtemps considérée comme un simple objet utilitaire, la sneaker est devenue un véritable phénomène de mode planétaire, qui attire et fait rêver les consommateurs. De nombreux sites des pages Instagram ou Facebook, des magasins, et même des ventes aux enchères se multiplient sur ce créneau porteur.
Un terrain fertile pour la seconde main. Les collectionneurs achètent un ou plusieurs modèles, à un prix plutôt attractif et les revendent ensuite aux acheteurs, jusqu’à 5 fois plus cher. Ils réalisent des plus-values supérieures à 2000 % en moins de cinq ans.
Le marché secondaire de la vente de baskets est en pleine expansion. Aujourd’hui, il représenterait 2 milliards de dollars, seulement aux États-Unis et pourrait tripler pour atteindre 6 milliards de dollars d’ici 2025. Professionnels, amateurs, passionnés, connaisseurs devenus professionnels, ce marché permet aux plus malins de réaliser une marge exorbitante. voire même de faire de la revente un travail à temps plein.
Les cofondateurs du site de revente en ligne Wethenew l’ont bien compris. Ils ont su surfer sur la vague sneakers au bon moment, cibler les bonnes personnes et ont tout misé sur la communication. Lors d’une interview pour Kom Media, ils parlent de leur passion et du chiffre d’affaires généré : “ chaque année, des dizaines de milliers de paires de baskets sont vendues sur notre site. Il existe depuis maintenant trois ans et demi et on a beaucoup grandi. On ambitionne de réaliser plusieurs dizaines de millions d’euros de chiffre d’affaires.”
D’autres, qui connaissent ce milieu depuis un moment, ne le voient pas du même oeil. Le fondateur de RWU, une page Instagram dédiée à la revente de baskets, explique que ce marché est tout de même compliqué :
“Aujourd’hui c’est devenu très dur d’avoir du stock, les boutiques limitent à un achat par personne. Le système de raffle (chaussures qui sortent sur le marché en quelques exemplaires) est de plus en plus inégalitaire. Je suis dans le resell depuis plus de deux ans et j’ai vu le prix d’achat de chez Nike augmenter énormément (jusqu’à +30€ par modèle de chaussures). Je fais ça en complément et je trouve qu’il est de plus en plus difficile de faire fortune avec ce business malheureusement.”
Les sneakers promues oeuvres d’art
Des Nike Air Force vendues à l’origine 150 dollars et qui s’échangent désormais pour 4000 dollars. Des baskets Chanel signées par Pharrell Williams vendues 9 000 dollars. Certaines marques l’ont bien compris et transforment leurs baskets en véritables œuvres d’art.
Certaines paires sont vendues non pas à des particuliers, mais à de véritables collectionneurs, qui les achètent lors de vente aux enchères. En mai dernier, l’une d’elle a été organisée dans la capitale française. 200 modèles iconiques étaient présentés et la vente a atteint 120 000 euros, avec un record pour une Jordan 1 en collaboration avec la marque Off White adjugée à 16 120 euros. Dior a également surfé sur cette tendance en sortant une collaboration avec la célèbre marque à virgule, vendue en seulement une dizaine d’exemplaires, pouvant atteindre plus de 10 000 euros.
Selon le directeur du développement e-commerce chez Sotheby’s, Bram Watcher, l’idée de la sneaker comme un objet d’art se répand. Selon lui, “l’art est un dialogue entre une personne et un objet. Quand quelqu’un voit une peinture ou une sculpture et qu’elle leur parle d’une manière ou d’une autre, c’est une interaction qui donne du sens à l’objet. Les collectionneurs de baskets ont la même relation avec les baskets. “
Ces sneakers sont un peu comme une madeleine de Proust, qui ramènent l’acquéreur à son enfance ou à certaines émotions.
Pour Louis, le fondateur de RWU, les collaborations sont une mine d’or : “Les collaborations marchent plus que jamais. Aujourd’hui, une paire de Jordan x Travis Scott se revend facilement dans les 1 500 € alors qu’elle ne m’a coûté que 160€. Personnellement, j’essaye d’avoir les prix les plus bas du marché pour que tout passionné puisse porter la paire de ses rêves.”
Bien plus qu’un simple objet, la sneaker signe désormais une identité, et peut même afficher un statut social. De Forrest Gump à Michael Jordan en passant par Drake, ces objets incontournables sont devenus désirés et désirables, suscitant un marché parfois comparé à celui du Bitcoin.
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Photo à la Une : © Balenciaga [/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row njt-role=”not-logged-in”][vc_column][vc_column_text]
Depuis une dizaine d’années, les sneakers, ou baskets, sont devenues des objets de collection. Stylées et convoitées, ces objets ne sont plus une nécessité, mais parfois une œuvre d’art et souvent un très bon investissement.
Une paire de baskets portée par Kanye West vendue 1,8 millions de dollars, une autre appartenant à Michael Jordan adjugée à 1,5 millions de dollars. Ces objets de consommation courante sont devenus en quelques années des machines à performances financières.
Longtemps considérée comme un simple objet utilitaire, la sneaker est devenue un véritable phénomène de mode planétaire, qui attire et fait rêver les consommateurs. De nombreux sites des pages Instagram ou Facebook, des magasins, et même des ventes aux enchères se multiplient sur ce créneau porteur.
Un terrain fertile pour la seconde main. Les collectionneurs achètent un ou plusieurs modèles, à un prix plutôt attractif et les revendent ensuite aux acheteurs, jusqu’à 5 fois plus cher. Ils réalisent des plus-values supérieures à 2000 % en moins de cinq ans.
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Depuis une dizaine d’années, les sneakers, ou baskets, sont devenues des objets de collection. Stylées et convoitées, ces objets ne sont plus une nécessité, mais parfois une œuvre d’art et souvent un très bon investissement.
Une paire de baskets portée par Kanye West vendue 1,8 millions de dollars, une autre appartenant à Michael Jordan adjugée à 1,5 millions de dollars. Ces objets de consommation courante sont devenus en quelques années des machines à performances financières.
Longtemps considérée comme un simple objet utilitaire, la sneaker est devenue un véritable phénomène de mode planétaire, qui attire et fait rêver les consommateurs. De nombreux sites des pages Instagram ou Facebook, des magasins, et même des ventes aux enchères se multiplient sur ce créneau porteur.
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