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Richemont : de meilleurs résultats que prévu au deuxième trimestre

Montre Cartier

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Comme l’anticipaient les analystes financiers, le géant du luxe suisse a enregistré une nette diminution de ses chiffres au premier semestre de son exercice décalé. Néanmoins, les experts n’avaient pas prévu la subite amélioration des résultats de Richemont au deuxième trimestre.

 

Au regard des conséquences de la Covid-19 sur l’industrie du luxe, Richemont prévoyait un recul de ses recettes d’environ 30% pour les six premiers mois de l’exercice décalé 2020-2021, achevé en septembre. D’après le communiqué du vendredi 6 novembre, ces prédictions n’étaient pas tout à fait exactes : entre avril et septembre 2020, les ventes de la firme ont chuté de 26% à 5.5 milliards d’euros (soit 5.8 milliards de francs suisses), ce qui représente une baisse de 25% hors effets de change. Au seul deuxième trimestre, le repli s’est élevé à 5% (ou 2% hors effets de change), après une diminution de 47% au premier partiel.

 

Sur l’ensemble du semestre, le bénéfice net a chuté de 82% à 159 millions d’euros, tandis que le résultat d’exploitation a baissé de 61% à 452 millions d’euros. Enfin, alors qu’elle était de 15.7% il y a un an, la marge afférente de Richemont s’élève à seulement 8.3%. Cela dit, ces chiffres sont nettement supérieurs aux attentes des experts financiers. D’après leurs pronostics, l’entreprise suisse aurait dû obtenir un bénéfice de 5 millions, un EBIT de 69 millions et des recettes de 5.1 milliards.

 

Si dans leur ensemble les résultats annoncés le 6 novembre sont meilleurs que ce que laissait présager l’analyste René Weber de Vontobel, ce dernier précise que l’obtention de tels chiffres est certainement liée au nouveau partenariat établi entre Richemont, la société chinoise Alibaba et le site de mode de renommée internationale Farfetch. En particulier, la marque joaillière et horlogère Cartier a profité de la reprise en Chine d’après le directeur général Jérôme Lambert. Si les secteurs de la joaillerie et de l’horlogerie ont connu des replis (-18% et -38% respectivement), la division bijoux comprenant notamment la marque Van Cleef & Arpels a renoué avec la croissance au deuxième trimestre. De manière générale, la croissance des ventes – débutée début août – s’est poursuivie en octobre selon le directeur financier Burkhart Grund.

 

Bien évidemment, les investisseurs ne sont pas restés de marbre à l’annonce des résultats de Richemont. À 13h37, le titre bondissait de 7.5% à 68.1 francs suisse. Cela dit, l’analyste de la Banque cantonale de Zurich (ZKB) appelle à la prudence : s’il reconnaît que les résultats dévoilés constituent une étonnante nouvelle, l’expert relève également le manque de visibilité de Richemont pour les mois à venir.

 

Lire aussi > ÉTUDE : LE DÉCLIN DE L’INDUSTRIE HORLOGÈRE [/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row njt-role=”not-logged-in”][vc_column][vc_column_text]

Comme l’anticipaient les analystes financiers, le géant du luxe suisse a enregistré une nette diminution de ses chiffres au premier semestre de son exercice décalé. Néanmoins, les experts n’avaient pas prévu la subite amélioration des résultats de Richemont au deuxième trimestre.

 

Au regard des conséquences de la Covid-19 sur l’industrie du luxe, Richemont prévoyait un recul de ses recettes d’environ 30% pour les six premiers mois de l’exercice décalé 2020-2021, achevé en septembre. D’après le communiqué du vendredi 6 novembre, ces prédictions n’étaient pas tout à fait exactes : entre avril et septembre 2020, les ventes de la firme ont chuté de 26% à 5.5 milliards d’euros (soit 5.8 milliards de francs suisses), ce qui représente une baisse de 25% hors effets de change. Au seul deuxième trimestre, le repli s’est élevé à 5% (ou 2% hors effets de change), après une diminution de 47% au premier partiel.

 

Sur l’ensemble du semestre, le bénéfice net a chuté de 82% à 159 millions d’euros, tandis que le résultat d’exploitation a baissé de 61% à 452 millions d’euros. Enfin, alors qu’elle était de 15.7% il y a un an, la marge afférente de Richemont s’élève à seulement 8.3%. Cela dit, ces chiffres sont nettement supérieurs aux attentes des experts financiers. D’après leurs pronostics, l’entreprise suisse aurait dû obtenir un bénéfice de 5 millions, un EBIT de 69 millions et des recettes de 5.1 milliards.

 

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Comme l’anticipaient les analystes financiers, le géant du luxe suisse a enregistré une nette diminution de ses chiffres au premier semestre de son exercice décalé. Néanmoins, les experts n’avaient pas prévu la subite amélioration des résultats de Richemont au deuxième trimestre.

 

Au regard des conséquences de la Covid-19 sur l’industrie du luxe, Richemont prévoyait un recul de ses recettes d’environ 30% pour les six premiers mois de l’exercice décalé 2020-2021, achevé en septembre. D’après le communiqué du vendredi 6 novembre, ces prédictions n’étaient pas tout à fait exactes : entre avril et septembre 2020, les ventes de la firme ont chuté de 26% à 5.5 milliards d’euros (soit 5.8 milliards de francs suisses), ce qui représente une baisse de 25% hors effets de change. Au seul deuxième trimestre, le repli s’est élevé à 5% (ou 2% hors effets de change), après une diminution de 47% au premier partiel.

 

Sur l’ensemble du semestre, le bénéfice net a chuté de 82% à 159 millions d’euros, tandis que le résultat d’exploitation a baissé de 61% à 452 millions d’euros. Enfin, alors qu’elle était de 15.7% il y a un an, la marge afférente de Richemont s’élève à seulement 8.3%. Cela dit, ces chiffres sont nettement supérieurs aux attentes des experts financiers. D’après leurs pronostics, l’entreprise suisse aurait dû obtenir un bénéfice de 5 millions, un EBIT de 69 millions et des recettes de 5.1 milliards.

 

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