[vc_row njt-role=”people-in-the-roles” njt-role-user-roles=”administrator,editor,author,armember”][vc_column][vc_column_text]
Le groupe italien flèche 60 millions d’euros pour développer ses capacités en 2023. Au programme : le doublement de son usine de maille de Torginao, l’amélioration des usines existantes, notamment via les nouvelles technologies et la potentielle acquisition de petites unités de fabrication. Et le recrutement de 400 personnel !
Pour Prada, maîtriser sa production et une traçabilité made in Italy est une priorité.
Après déjà 70 millions d’euros en 2022, le groupe compte ainsi investir 60 millions d’euros en 2023dans la chaîne de fabrication.
Son chantier le plus important est la multiplication par deux des capacités de production de son usine de maille de Torgiano, située en Ombrie, a révélé l’agence Reuters.
Technologies modernes
Prada compte aussi investir dans l’agrandissement d’autres unités de production existantes, et dans la mise en place de technologies modernes. Les ateliers Prada sont concentrés principalement en Toscane, en Ombrie et dans les Marches.
Le groupe propriétaire de la marque éponyme mais aussi des Maisons Miu-Miu et Church’s ou Car Shoe, n’exclue pas non plus d’acquérir des unités de fabrication transalpines, dédiées à des savoir-faire qu’il ne maîtrise pas encore. Celles-ci pourraient être spécialisées dans le textile et le prêt-à-porter, mais pas dans le cuir, une filière où le groupe est déjà bien présent.
Pour s’activer aux manettes de ces unités de production supplémentaires, Massimo Vian, le directeur industriel, a récemment déclaré que Prada souhaitait investir massivement dans sa main-d’œuvre. 400 personnes seront ainsi recrutées en Italie d’ici fin 2023.
Prada Group Academy
La moitié de ces nouveaux effectifs ont été formés au sein de son école en interne, la Prada Group Academy, appelée à être “de plus en plus cruciale pour la préservation future” de son “savoir-faire et celui du secteur.»
Créée dans les années 2000, cette école est dédiée à la fois à l’artisanat d’excellence (maroquinerie, prêt-à-porter, broderie…), à la communication et aux technologies. De quoi offrir à la fois les meilleurs services et produits à une clientèle exigeante.
Et de continuer à surfer sur une belle dynamique : Prada a réalisé en 2022 un chiffre d’affaires record, en hausse de 25% à 4,2 milliards d’euros, et un bénéfice net qui a bondi de 58% à 465 millions d’euros. Soit encore mieux que ce que projetaient les analystes !
Lire aussi > Prada : des bénéfices supérieurs aux attentes en 2022
Photo à la Une : © David Sims[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row njt-role=”not-logged-in”][vc_column][vc_column_text]
Le groupe italien flèche 60 millions d’euros pour développer ses capacités en 2023. Au programme : le doublement de son usine de maille de Torginao, l’amélioration des usines existantes, notamment via les nouvelles technologies et la potentielle acquisition de petites unités de fabrication. Et le recrutement de 400 personnel !
Pour Prada, maîtriser sa production et une traçabilité made in Italy est une priorité.
Après déjà 70 millions d’euros en 2022, le groupe compte ainsi investir 60 millions d’euros en 2023dans la chaîne de fabrication.
Son chantier le plus important est la multiplication par deux des capacités de production de son usine de maille de Torgiano, située en Ombrie, a révélé l’agence Reuters.
Technologies modernes
Prada compte aussi investir dans l’agrandissement d’autres unités de production existantes, et dans la mise en place de technologies modernes. Les ateliers Prada sont concentrés principalement en Toscane, en Ombrie et dans les Marches.
Le groupe propriétaire de la marque éponyme mais aussi des Maisons Miu-Miu et Church’s ou Car Shoe, n’exclue pas non plus d’acquérir des unités de fabrication transalpines, dédiées à des savoir-faire qu’il ne maîtrise pas encore. Celles-ci pourraient être spécialisées dans le textile et le prêt-à-porter, mais pas dans le cuir, une filière où le groupe est déjà bien présent.
[…][/vc_column_text][vc_cta h2=”Cet article est réservé aux abonnés.” h2_font_container=”tag:h2|font_size:16|text_align:left” h2_use_theme_fonts=”yes” h4=”Abonnez-vous dès maintenant !” h4_font_container=”tag:h2|font_size:32|text_align:left|line_height:bas” h4_use_theme_fonts=”yes” txt_align=”center” color=”black” add_button=”right” btn_title=”JE M’ABONNE !” btn_color=”danger” btn_size=”lg” btn_align=”center” use_custom_fonts_h2=”true” use_custom_fonts_h4=”true” btn_button_block=”true” btn_custom_onclick=”true” btn_link=”url:https%3A%2F%2Fluxus-plus.com%2Fnouveaux-abonnements-et-newsletter%2F”]Accédez en illimité à tous les articles et vivez une expérience de lecture inédite, contenus en avant première, newsletter exclusives…
Déjà un compte ? Connectez-vous.[/vc_cta][vc_column_text]Photo à la Une : © David Sims[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row njt-role=”people-in-the-roles” njt-role-user-roles=”subscriber,customer”][vc_column][vc_column_text]
Le groupe italien flèche 60 millions d’euros pour développer ses capacités en 2023. Au programme : le doublement de son usine de maille de Torginao, l’amélioration des usines existantes, notamment via les nouvelles technologies et la potentielle acquisition de petites unités de fabrication. Et le recrutement de 400 personnel !
Pour Prada, maîtriser sa production et une traçabilité made in Italy est une priorité.
Après déjà 70 millions d’euros en 2022, le groupe compte ainsi investir 60 millions d’euros en 2023dans la chaîne de fabrication.
Son chantier le plus important est la multiplication par deux des capacités de production de son usine de maille de Torgiano, située en Ombrie, a révélé l’agence Reuters.
Technologies modernes
Prada compte aussi investir dans l’agrandissement d’autres unités de production existantes, et dans la mise en place de technologies modernes. Les ateliers Prada sont concentrés principalement en Toscane, en Ombrie et dans les Marches.
Le groupe propriétaire de la marque éponyme mais aussi des Maisons Miu-Miu et Church’s ou Car Shoe, n’exclue pas non plus d’acquérir des unités de fabrication transalpines, dédiées à des savoir-faire qu’il ne maîtrise pas encore. Celles-ci pourraient être spécialisées dans le textile et le prêt-à-porter, mais pas dans le cuir, une filière où le groupe est déjà bien présent.
[…][/vc_column_text][vc_cta h2=”Cet article est réservé aux abonnés.” h2_font_container=”tag:h2|font_size:16|text_align:left” h2_use_theme_fonts=”yes” h4=”Abonnez-vous dès maintenant !” h4_font_container=”tag:h2|font_size:32|text_align:left|line_height:bas” h4_use_theme_fonts=”yes” txt_align=”center” color=”black” add_button=”right” btn_title=”JE M’ABONNE !” btn_color=”danger” btn_size=”lg” btn_align=”center” use_custom_fonts_h2=”true” use_custom_fonts_h4=”true” btn_button_block=”true” btn_custom_onclick=”true” btn_link=”url:https%3A%2F%2Fluxus-plus.com%2Fnouveaux-abonnements-et-newsletter%2F”]Accédez en illimité à tous les articles et vivez une expérience de lecture inédite, contenus en avant première, newsletter exclusives…
Déjà un compte ? Connectez-vous.[/vc_cta][vc_column_text]Photo à la Une : © David Sims[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]