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La pénurie de verre handicape les acteurs du vin

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Les acteurs du vin sont plus que jamais préoccupés par les longs délais d’approvisionnement de bouteilles en verre. Les usines sont, elles, touchées par la hausse des prix de l’énergie.

Alors que les vendanges sont en cours, le verre manque à l’appel.  En  cause : la reprise post-covid et la guerre en Ukraine. Et la situation ne risque pas de s’améliorer d’ici à 2024. 

 

Pour un grand nombre d’entreprises, la priorité est de trouver une solution pour pouvoir écouler leurs marchandises et stocker leur production de spiritueux. 

 

Certaines d’entre elles trouvent des solutions alternatives pour contrer cette crise. 

 

Unidor, le plus gros embouteilleur de Dordogne, envisage ainsi  d’arrêter sa production temporairement. L’entreprise remplit habituellement chaque année 15 millions de bouteilles. Mais, depuis la guerre en Ukraine et la hausse des prix du carburant, sa production a nettement baissé et les délais de livraison s’allongent. 

 

« C’est très compliqué, les délais atteignent parfois deux ou trois mois. », a expliqué le président, Jean-Marc Fontaine, au micro de France Bleu Périgord. Selon lui, il faudrait demander aux clients « de changer de format ou de couleur de bouteille, mais c’est très difficile ». 

 

Les bouteilles en verre coûtent jusqu’à 40 % plus chères qu’habituellement,  estime Jean-Marc Fontaine.  Ce qui représenterait une hausse de 10 centimes sur chaque bouteille. 

 

Le plus frustrant pour les sociétés d’embouteillage est d’assister au maintien de leurs  carnets de commandes alors que l’allongement des délais de livraison des bouteilles les empêche de les satisfaire. 

 

Chômage partiel

 

La hausse des prix de l’énergie est une autre cause de cette pénurie de verre. De fait, elle oblige  les usines, productrices de verre, à  revoir leur consommation énergétique, et donc à réduire, parfois même arrêter, leur fabrication. 

 

Parmi elles, l’entreprise Duralex. La société française annonce qu’elle va mettre en pause sa production et recourir au chômage partiel.  « Produire au tarif de l’énergie au prix du jour générerait des pertes intenables », explique le président, José-Luis Llacuna. À partir du mois de novembre, le producteur de verre mettra ses fours au repos et ses 250 employés au chômage partiel pour quelques mois. 

 

Une décision difficile mais moins coûteuse, qui devrait permettre de préserver l’activité et l’emploi. 

 

Autre pertubation liée à l’inflation : des grèves en Espagne. Des chauffeurs de camions ont arrêté les livraisons et bloqué les routes pour protester contre l’explosion des prix du carburant.

 

Une guerre aux multiples retombées 

 

La situation actuelle s’explique aussi en partie par la guerre en Ukraine.

 

L’usine de l’un des plus importants fournisseurs européens de verre a ainsi été touchée par un bombardement. 

 

 

Reste une question  : faut-il que les fabricants de verre et acteurs du vin voient le verre à moitié plein ou à moitié vide ?

 

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Les acteurs du vin sont plus que jamais préoccupés par les longs délais d’approvisionnement de bouteilles en verre. Les usines sont, elles, touchées par la hausse des prix de l’énergie.

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Unidor, le plus gros embouteilleur de Dordogne, envisage ainsi  d’arrêter sa production temporairement.

 

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