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Paris Fashion Week : quand Schiaparelli sort les crocs

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L’emblématique Maison de Couture Schiaparelli a donné ce matin le coup d’envoi de la Fashion Week Couture printemps-été 2023 à Paris. Entre élégance et animalité, ce défilé marquera sûrement les esprits pendant un moment.

 

Depuis maintenant quatre ans, le jeune et talentueux Daniel Roseberry est à la tête de la création de la Maison Schiaparelli. Réussissant l’exploit d’être à la fois innovant, dans l’air du temps et respectueux de l’héritage d’’Elsa Schiaparelli, il façonne les collections à sa façon, tout en gardant une touche de la célèbre créatrice. Une citation de l’Adn qui peut passer par les bijoux, les ornementations, les robes déstructurées ou encore les imprimés. Pour ce défilé, il a réélu domicile au Petit Palais. Entre les murs du musée, ce n’étaient pas des vêtements, mais bel et bien des œuvres d’art qui étaient présentées au public, positionné en arc de cercle pour ne rien manquer des allées et venues des mannequins.

 

Daniel Roseberry est allé au coeur de l’essence de la Haute Couture, en s’inspirant essentiellement de l’œuvre de Dante Alighieri, un poète, écrivain et penseur italien. Mêlant tissu et bijoux, fluidité et rigidité, Daniel Roseberry maîtrise plus que parfaitement les codes de la Haute Couture.

 

Pour cette première référence à l’artiste florentin, le directeur artistique a dévoilé des créations animales aussi belles que réalistes. On pouvait apercevoir Irina Shake dans une robe lion, Naomi Campbell dans un manteau louve, en fausse fourrure et une dernière robe façon tigre blanc. Cette série de tenues propose une reproduction très troublante de la nature. Les mannequins n’étaient d’ailleurs pas les seules à arborer  ces tenues. Kylie Jenner, sur le front row, portait en avant-première la robe lion.

 

Autres créations marquantes de ce défilé : des bustiers, à la construction presqu’architecturale. L’expression, quand l’art rencontre la mode, est ici parfaitement adaptée. Quand certains voient un bustier avec un pantalon ou une jupe, d’autres imaginent une huître, une chaise, ou encore un paon.

 

 

Egalement impressionnantes, les autres pièces de la collection sont une revisite du vestiaire féminin, pimenté d’originalité. Les costumes, en velours ou d’autres matières nobles, ont les épaules larges et déstructurées, ainsi qu’une taille très cintrée. L’un d’entre eux, noir aux rayures blanches, rappelle le style Addams, dans la série Mercredi sur Netflix. Un autre costume noir et blanc voit son col remplacé par le corps d’un sombre serpent.

 

 

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Comme souvent dans les défilés Schiaparelli, le noir et blanc domine.  Ici là, un vert émeraude,  un marron ou un orange-rouille viennent cependant ajouter quelques touches colorées. Pour les matières, le mélange est homogène et parfaitement maîtrisé.  Velours, soie, satin, organza, cuir, fausse fourrure et sequins se partagent la vedette.

 

Ce défilé n’a pas dérogé à son must en Haute Couture : la fameuse robe de mariée finale. Pour cette collection, elle est revisitée en version mini, avec une sorte d’immense cape, tout en volupté et en matière. Des petits nœuds se trouvent sur le long de la robe et la couleur -entre rose et or- sort décidément de l’ordinaire. A l’image de la collection…

 

Lire aussi >Fashion Week Homme de Paris : premiers défilés marquants

Photo à la Une : ©Presse[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row njt-role=”not-logged-in”][vc_column][vc_column_text]

L’emblématique Maison de Couture Schiaparelli a donné ce matin le coup d’envoi de la Fashion Week Couture printemps-été 2023 à Paris. Entre élégance et côté animal, c’était un défilé tout en délicatesse et finesse, qui marquera sûrement les esprits pendant un moment.

 

Depuis maintenant quatre ans, le jeune et talentueux Daniel Roseberry est à la tête de la création de la Maison Schiaparelli. Innovant, dans l’air du temps et surtout, surtout, respectueux de l’héritage qu’Elsa Schiaparelli a laissé sur terre, il façonne les collections à sa façon, tout en gardant une touche Schiappa’ que l’on retrouve à chaque fois. Quand ce n’est pas les bijoux, ce sont les ornementations, quand ce ne sont pas les robes déstructurées, ce sont les imprimés. Pour ce défilé, il a réélu domicile au Petit Palais. Entre les murs du musée, ce ne sont pas des vêtements, mais bien de véritables œuvres d’art qui étaient présentées au public, positionné en arc de cercle, pour ne rien louper des allées et venues des mannequins.

 

Daniel Roseberry a fait ressortir l’essence même de la Haute Couture, en s’inspirant essentiellement de l’œuvre de Dante Alighieri, un poète, écrivain et penseur italien.

 

Pour une première référence à l’artiste florentin, le directeur artistique a dévoilé des créations animales, aussi belles que réalistes. On pouvait apercevoir Irina Shake dans une robe lion, Naomi Campbell dans un manteau louve, en fausse fourrure et une dernière robe façon tigre blanc. Cette série de tenues bestiales retranscrit le mimétisme, avec une reproduction très troublante et aussi vraie que nature. Les mannequins n’étaient d’ailleurs pas les seules à arborer  ces tenues. Kylie Jenner, sur le front row, portrait en avant-première la robe lion.

 

 

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L’emblématique Maison de Couture Schiaparelli a donné ce matin le coup d’envoi de la Fashion Week Couture printemps-été 2023 à Paris. Entre élégance et côté animal, c’était un défilé tout en délicatesse et finesse, qui marquera sûrement les esprits pendant un moment.

 

Depuis maintenant quatre ans, le jeune et talentueux Daniel Roseberry est à la tête de la création de la Maison Schiaparelli. Innovant, dans l’air du temps et surtout, surtout, respectueux de l’héritage qu’Elsa Schiaparelli a laissé sur terre, il façonne les collections à sa façon, tout en gardant une touche Schiappa’ que l’on retrouve à chaque fois. Quand ce n’est pas les bijoux, ce sont les ornementations, quand ce ne sont pas les robes déstructurées, ce sont les imprimés. Pour ce défilé, il a réélu domicile au Petit Palais. Entre les murs du musée, ce ne sont pas des vêtements, mais bien de véritables œuvres d’art qui étaient présentées au public, positionné en arc de cercle, pour ne rien louper des allées et venues des mannequins.

 

Daniel Roseberry a fait ressortir l’essence même de la Haute Couture, en s’inspirant essentiellement de l’œuvre de Dante Alighieri, un poète, écrivain et penseur italien.

 

Pour une première référence à l’artiste florentin, le directeur artistique a dévoilé des créations animales, aussi belles que réalistes. On pouvait apercevoir Irina Shake dans une robe lion, Naomi Campbell dans un manteau louve, en fausse fourrure et une dernière robe façon tigre blanc. Cette série de tenues bestiales retranscrit le mimétisme, avec une reproduction très troublante et aussi vraie que nature. Les mannequins n’étaient d’ailleurs pas les seules à arborer  ces tenues. Kylie Jenner, sur le front row, portrait en avant-première la robe lion.

 

 

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