[vc_row][vc_column][vc_column_text]28 février 2018[/vc_column_text][vc_column_text]
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Bien que l’industrie continue de se développer et d’embaucher à un rythme régulier, les places sont peu nombreuses et réservées aux candidats ayant suivi les formations les plus pointues. D’autant que le luxe n’obéit plus à un modèle standard qu’il suffit de reproduire. « Ce qui fait la différence dans le luxe, c’est l’innovation. Nous recherchons donc des profils créatifs », a expliqué Véronique Gautier, Directrice générale internationale de la filiale Giorgio Armani Parfums (L’Oréal). Pour les marques, l’objectif est donc clair: il faut savoir surprendre, trouver ce qui créera l’exclusivité et, par delà, la désirabilité.
Le luxe s’étant mondialisé, l’objectif est aussi de former des profils ouverts à l’international et très imprégnés de la culture des marchés qu’ils intègrent. Qu’il soit en Asie ou aux Etats-Unis, là où son chiffe d’affaires est devenu plus important qu’en Europe, le luxe se développe désormais selon des particularités locales. “La priorité est de former des middle-managers prêts à partir immédiatement sur des marchés étrangers pour y développer des marques.“, souligne Sophie Djordjevic, Chef de Projet e-Retail International Parfums Christian Dior.
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Pour cette ancienne diplomée de Skema Business School, il faut également que les futurs professionnels soient en mesure de mener à bien les nouvelles priorités de développement des marques de luxe, celles qui s’inscrivent comme une réponse à l’évolution des habitudes de consommation. Une connaissance poussée des marchés est donc indispensable.
Au niveau des compétences recherchées, bien que la révolution digitale apporte son lot de nouveaux jobs, on assiste à un retour des spécialistes en retail. Avec le développement du marketing expérientiel, la vente en boutique reste sur le devant de la scène ! D’autant plus que la stratégie omnicanale est en plein boom et pousse les marques à réinventer la fonction du magasin. Les compétences dans ce domaine sont très recherchées. Et pour Christophe Chopineau, directeur adjoint du Meurice, le sens du service doit rester la priorité. « Le luxe, ce n’est pas ce que l’on peut voir mais ce que l’on peut percevoir et sentir », a-t-il souligné. Au-delà de toutes les compétences, il est donc essentiel de savoir anticiper et satisfaire les attentes de ses clients particulièrement exigents.
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