Véritable égérie mondialisée de la Belle Epoque, tous et toutes voulaient voir, approcher ou même toucher ce « monstre sacré » face auquel aucune scène – théâtres classiques ou chapiteaux de cirque de 5000 places – ne résistait.
Aussi talentueuse que dotée d’un tempérament enflammé à l’image de sa chevelure « couleur du diable », Sarah Bernhardt était autant célèbre en France que sur les cinq continents.
Cette notoriété hors-norme a préfiguré celle des superstars mondiales qui lui succéderont telles que Joséphine Baker ou, plus près de nous, les Madonna, Michael Jackson, Beyoncé et autres Taylor Swift.
L’exposition au Petit Palais, en l’honneur du centenaire de sa mort, s’achève ce 27 août. L’occasion d’approcher près de 400 œuvres et objets ayant appartenu à cette artiste polymathe, tout à la fois comédienne, peintre, écrivaine ou sculptrice.
Un jeu du sort
La vie de Sarah Bernardt ressemble à s’y méprendre à la destinée de Cendrillon ou From Rags to Riches comme disent les américains : née dans un foyer misérable pour s’éteindre auréolée de gloire.
Rien ne prédestinait cette fille de courtisane – exerçant dans une maison close – à monter sur les planches et à devenir la “Divine” Sarah.
Et pourtant c’était sans compter sur un coup du destin qui lui permit de ne plus connaître la tragédie…que sur scène.
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Photo à la Une : © Presse