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Louis Vuitton vient de dévoiler une version futuriste de sa fameuse Tambour. Objectif clairement affiché : Perpétuer une icône de l’horlogerie masculine en associant les technologies d’avant-garde aux savoir-faire traditionnels de la Haute Horlogerie.
Louis Vuitton horlogerie vient de dévoiler une version futuriste de sa fameuse Tambour dotée d’un imposant boitier de 46 mm en titane et carbostratum qui accueille un calibre de type squelette d’exception de la Fabrique du Temps avec tourbillon volant.
Au résultat, la dimension spectaculaire du mouvement est renforcée.
Mais pour les connaisseurs, la véritable prouesse résulte du petit Poinçon de Genève qui apparaît à 6 heures sur le cadran. Un standard d’excellence, emblème de la haute horlogerie, instauré en 1886.
Il faut savoir que depuis les rachats en 2011 de La Fabrique du Temps, à même de concevoir des calibres de pointe, puis de Léman Cadrans, le malletier, en quête de légitimité sur le terrain horloger, ne cesse d’innover.
Le design du futur
Inspirée du ruban de Möbius, la boîte est revisitée, étirée, allongée.
Sa cambrure convexe inscrite dans un cercle s’avère très cohérente dans son approche graphique du futur horloger.
Plus, elle déstructure le rond pour devenir une forme à part entière : vue de côté, la carrure présente un galbe continu d’une attache à l’autre et, vue de dessus, elle apparaît ronde.
“L’ambition est d’épouser parfaitement la courbe naturelle du poignet“, indique la maison horlogère dans un communiqué officiel.
Autre signature de la maison, les initiales LV, qui trônent en plein milieu du cadran…
Une montre de haute volée
La Tambour Curve Tourbillon Volant Poinçon de Genève utilise pour son habillage des matériaux techniques, ultra-légers et résistants, issus de l’aéronautique.
La partie externe du boîtier est réalisée en Carbostratum®, un matériau composite unique développé pour Louis Vuitton.
Sa fabrication demande plus de 100 couches de carbone de tailles différentes, appliquées de manière aléatoire.
“L’ensemble constitué est alors mis sous pression à une température régulée, précise Michel Navas, maître horloger de La Fabrique du Temps Louis Vuitton. Une fois stabilisé, ce matériau ultra-rigide est ensuite usiné à l’aide de machines multidimensionnelles de dernière génération. C’est durant ces opérations qu’apparaissent des volumes aux courbes douces et puissantes à la fois, qui rendent chaque modèle unique.”
Le Poinçon de Genève : l’excellence horlogère
Il faut rappeler que la maison a inauguré en 2014 une manufacture de près de 5 000 mètres carrés à Meyrin, un emplacement déterminant pour l’obtention du Poinçon de Genève.
Considéré comme la certification la plus respectée en matière de provenance, de belle facture et de fiabilité, le Poinçon de Genève exige la perfection.
La maison décroche ainsi en 2016 un premier poinçon avec la Voyager Tourbillon Volant Poinçon de Genève et un second, un an plus tard, avec la Tambour Moon Tourbillon Volant.
Avec la Tambour Curve Tourbillon Volant Poinçon de Genève, Louis Vuitton poursuit son ancrage dans le club très restreint des maisons horlogères détentrices de cette estampille si prestigieuse.
Plus de 120 heures de travail sur le mouvement sont nécessaires pour atteindre ce niveau d’exigence technique.
A noter qu’il existe également une version très bling-bling avec le LV, le rehaut, la couronne et les cornes tout en diamants.
Photo à la une : © Louis Vuitton[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]