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Avec le développement de l’horlogerie, certaines manufactures d’excellence ont cherché un moyen de se protéger et de se différencier de l’arrivée des montres de basses qualités. C’est en Suisse, plus particulièrement dans le Canton de Genève que va naître l’histoire du poinçon.
Les garde-temps fabriqués dans le canton de Genève vont posséder leur propre certification, ce poinçon vient garantir leur bienfacture et garantir la rareté d’un savoir-faire d’excellence. « La beauté d’une montre doit servir à magnifier son bon fonctionnement. C’est pour cette raison que le Poinçon de Genève soumet chacune des montres à plusieurs contrôles afin de s’assurer de leur qualité et fiabilité. Une montre certifiée Poinçon de Genève est l’assurance d’un véritable produit horloger issu de technologies de pointe, durable et précis », déclarait le Poinçon de Genève.
C’est en 1886, qu’apparait pour la première fois le poinçon de Genève. Dix ans plus tôt en 1878, la Société des Horlogers de Genève et le Conseil d’État proposent un projet de loi, dans l’objectif de définir les contours d’une certification des garde-temps produits dans le Canton : cette loi est le « Contrôle facultatif des montres de Genève – Poinçon de Genève ».
Cependant, les Manufactures voulant attester leurs pièces horlogères du poinçon de Genève doivent respecter de nombreuses conditions. Exclusivement, les marques qui réalisent leurs garde-temps dans le Canton peuvent attester du poinçon de Genève. La certification repose également sur des critères portant sur l’assurance qualité, le contrôle des fonctions, l’étanchéité, la précision de marche et la réserve de marche.
Les Maisons qui utilisent encore aujourd’hui le poinçon de Genève sont Cartier, Chopard, Vacheron Constantin et Roger Dubois.
Néanmoins, certaines manufactures décident d’établir leurs propres certifications, c’est le cas pour la Maison Patek Philippe en 2009. La certification de Patek Philippe est davantage poussée que celle du poinçon de Genève, grâce à un processus de contrôle entièrement intégré à la fabrication.
Peu à peu d’autres organismes créent leur propre certification afin de faire concurrence au prestigieux poinçon de Genève. Le Contrôle officiel suisse des chronomètres (COSC) est une association à but non lucratif crée en 1973. Cette association a été créée par cinq cantons horlogers (Berne, Genève, Neuchâtel, Soleure, Vaud) et par la Fédération de l’industrie horlogère suisse. « Preuve de la très haute valeur dont le certificat « chronomètre » du COSC atteste : ce ne sont environ que 6% des montres suisses exportées (source Fédération de l’industrie horlogère suisse FH) qui en bénéficient », indique le COSC.
Plus tard en 2008, la Fondation Qualité Fleurier est créée, il s’agit d’un organisme de certification suisse de qualité horlogère haut de gamme. Ce projet a été réalisé par des marques horlogères indépendantes, Chopard, Parmigiani Fleurier, Bovet Fleurier et Vaucher manufacture Fleurier. Pour mériter la certification « FQF La haute horlogerie certifiée », le garde-temps devra avoir passé le test de cinq étapes très exigeantes.
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Avec le développement de l’horlogerie, certaines manufactures d’excellence ont cherché un moyen de se protéger et de se différencier de l’arrivée des montres de basses qualités. C’est en Suisse, plus particulièrement dans le Canton de Genève que va naître l’histoire du poinçon.
Les garde-temps fabriqués dans le canton de Genève vont posséder leur propre certification, ce poinçon vient garantir leur bienfacture et garantir la rareté d’un savoir-faire d’excellence. « La beauté d’une montre doit servir à magnifier son bon fonctionnement. C’est pour cette raison que le Poinçon de Genève soumet chacune des montres à plusieurs contrôles afin de s’assurer de leur qualité et fiabilité. Une montre certifiée Poinçon de Genève est l’assurance d’un véritable produit horloger issu de technologies de pointe, durable et précis », déclarait le Poinçon de Genève.
C’est en 1886, qu’apparait pour la première fois le poinçon de Genève.
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Avec le développement de l’horlogerie, certaines manufactures d’excellence ont cherché un moyen de se protéger et de se différencier de l’arrivée des montres de basses qualités. C’est en Suisse, plus particulièrement dans le Canton de Genève que va naître l’histoire du poinçon.
Les garde-temps fabriqués dans le canton de Genève vont posséder leur propre certification, ce poinçon vient garantir leur bienfacture et garantir la rareté d’un savoir-faire d’excellence. « La beauté d’une montre doit servir à magnifier son bon fonctionnement. C’est pour cette raison que le Poinçon de Genève soumet chacune des montres à plusieurs contrôles afin de s’assurer de leur qualité et fiabilité. Une montre certifiée Poinçon de Genève est l’assurance d’un véritable produit horloger issu de technologies de pointe, durable et précis », déclarait le Poinçon de Genève.
C’est en 1886, qu’apparait pour la première fois le poinçon de Genève.
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