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Le chausseur Clergerie tombe dans l’escarcelle de l’américain Titan Footwear

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Le chasseur français Clergerie évite de justesse la liquidation judiciaire. L’entreprise française vient d’être rachetée par l’américain Titan Footwear.

 

La justice a tranché et le chasseur drômois Clergerie sera donc aux mains de l’entreprise californienne Titan Footwear, la seule à avoir maintenu sa proposition de rachat. Elle pourra donc acquérir la société française, en redressement judiciaire depuis le 29 mars.

 

Fondée en 1970 par son créateur éponyme, Robert Clergerie, l’entreprise était en difficulté financière depuis un certain temps et avait fait l’objet, depuis un mois, de quelques offres partielless. Mais la seule société encore en lice à la clôture des offres de rachat était Titan Footwear, filiale du groupe californien Titan Industries. Spécialisé dans la chaussure de “haute couture”, le géant californien aurait réalisé un chiffre d’affaires annuel de 50 millions de dollars en 2022.

Amorce d’une délocalisation

 

Le “Titan” de la chaussure avait proposé 700 000 euros pour racheter Clergerie, avec des investissements initiaux qui s’élèvent à 6,5 millions d’euros.

 

Après la confirmation du rachat, l’entreprise s’engage à garder 45 % des effectifs, soit une soixantaine d’employés sur les 134 initiaux, en diminuant  notamment le personnel technique.

 

Les ateliers, situés à Romans dans la Drôme, seront pour une petite partie conservés. Pour le reste de la fabrication, l’entreprise américaine souhaite s’adosser sur une société espagnole dont les collaborations se font à travers le monde tel que la Chine, l’Inde et le Maroc. Une partie de la production sera donc délocalisée.

 

Ce qui marque entre autres un acte historique pour le chasseur drômois, qui était l’un des derniers à fabriquer des souliers en cuir en France, à l’instar des marques Paraboot, J.M Weston ou Heschung.

 

Un rachat par les États-Unis, mais un nom qui restera français. Depuis ses débuts dans les années 70, la griffe a chaussé les plus grandes stars, de Lauren Bacall à Madonna en passant par Hollywood. Reste à espérer que la marque conserve son prestige et son savoir-faire à la française dans les années à venir.

 

Lire aussi >Clergerie : le fabricant de chaussures attend avec inquiétude un repreneur

Photo à la Une :  © Presse [/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row njt-role=”not-logged-in”][vc_column][vc_column_text]

Le chasseur français Clergerie évite de justesse la liquidation judiciaire. L’entreprise française vient d’être rachetée par l’américain Titan Footwear.

 

La justice a tranché et le chasseur drômois Clergerie sera donc aux mains de l’entreprise californienne Titan Footwear, la seule à avoir maintenu sa proposition de rachat. Elle pourra donc acquérir la société française, en redressement judiciaire depuis le 29 mars.

 

Fondée en 1970 par son créateur éponyme, Robert Clergerie, l’entreprise était en difficulté financière depuis un certain temps et avait fait l’objet, depuis un mois, de quelques offres partielless. Mais la seule société encore en lice à la clôture des offres de rachat était Titan Footwear, filiale du groupe californien Titan Industries. Spécialisé dans la chaussure de “haute couture”, le géant californien aurait réalisé un chiffre d’affaires annuel de 50 millions de dollars en 2022.

Amorce d’une délocalisation

 

Le “Titan” de la chaussure avait proposé 700 000 euros pour racheter Clergerie, avec des investissements initiaux qui s’élèvent à 6,5 millions d’euros.

 

Après la confirmation du rachat, l’entreprise s’engage à garder 45 % des effectifs, soit une soixantaine d’employés sur les 134 initiaux, en diminuant  notamment le personnel technique.

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Le chasseur français Clergerie évite de justesse la liquidation judiciaire. L’entreprise française vient d’être rachetée par l’américain Titan Footwear.

 

La justice a tranché et le chasseur drômois Clergerie sera donc aux mains de l’entreprise californienne Titan Footwear, la seule à avoir maintenu sa proposition de rachat. Elle pourra donc acquérir la société française, en redressement judiciaire depuis le 29 mars.

 

Fondée en 1970 par son créateur éponyme, Robert Clergerie, l’entreprise était en difficulté financière depuis un certain temps et avait fait l’objet, depuis un mois, de quelques offres partielless. Mais la seule société encore en lice à la clôture des offres de rachat était Titan Footwear, filiale du groupe californien Titan Industries. Spécialisé dans la chaussure de “haute couture”, le géant californien aurait réalisé un chiffre d’affaires annuel de 50 millions de dollars en 2022.

Amorce d’une délocalisation

 

Le “Titan” de la chaussure avait proposé 700 000 euros pour racheter Clergerie, avec des investissements initiaux qui s’élèvent à 6,5 millions d’euros.

 

Après la confirmation du rachat, l’entreprise s’engage à garder 45 % des effectifs, soit une soixantaine d’employés sur les 134 initiaux, en diminuant  notamment le personnel technique.

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