Dans le cadre de la mise en œuvre de son programme de rachat d’actions, autorisé par l’Assemblée générale du 16 juin 2020, Kering a confié une instruction à un prestataire de services d’investissement ayant pour objectif d’acquérir, au plus tard à l’échéance du 16 avril 2021 et en fonction des conditions de marché, un maximum de 250 000 actions ordinaires Kering.
Un chiffre qui représente environ 0,2 % du capital social de l’entreprise au 15 janvier 2021. Objectif ? La couverture de plans d’attribution gratuite d’actions et autres plans d’intéressement long terme rémunérés en actions Kering au profit des salariés, précise le groupe dans un communiqué publié ce lundi.
Le prix d’achat unitaire des titres ne pourra pas excéder le prix maximum fixé par l’Assemblée générale des actionnaires du 16 juin 2020, soit 600 euros par action, hors frais d’acquisition, portant le montant maximal global alloué au programme de rachat d’actions à 7,6 milliards euros.
Il faut rappeler que le titre Kering lâche à nouveau du lest ce matin à la Bourse de Paris et retombe à un plus bas depuis début novembre, à 528 euros, soit -1,10% à l’ouverture.
Kering a en effet déçu le marché sur les six derniers mois de son exercice 2020. En cause : les investisseurs accueillent mal le ralentissement des ventes de sa marque-phare Gucci. La locomotive du groupe, qui avait frôlé les 10 milliards d’euros de ventes en 2019, a ainsi marqué le pas en 2020, à 7,4 milliards d’euros.
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