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Lancée en 2018 par la petite-fille de Picasso, la marque de bijoux a fait le choix d’utiliser un or pur 24 carats. Et cela plaît si l’on en croit le développement de l’entreprise, qui vient de dévoiler ses résultats du deuxième trimestre 2023.
Faire de l’or, dans la famille Picasso, c’est dans les gênes. Mais si son grand-père, le célèbre peintre, en générait à foison grâce à ses œuvres, sa petite-fille, Diana Widmaier-Picasso, travaille directement cette matière précieuse.
A la base historienne de l’art et commissaire d’exposition, elle a cofondé la marque de bijoux Menē en 2018, avec Roy Sebag, à la tête d’une banque d’or (laquelle achète ce métal pour produire différents alliages et carats avant de les revendre).
Une marque disruptive en or 24 carats
Mais pas question pour autant de créer une énième marque de bijoux dont le seul atout serait de reposer sur la lignée Picasso et un argumentaire People… Même s’il est tentant de rappeler que Paloma, la tante de Diana, s’est elle-même illustrée dans la création de bijoux et que son prolifique grand-père avait lui-même imaginé quelques modèles de bijoux.
Mais la démarche de Menē est originale à plus d’un titre. La première innovation est de miser sur l’or 24 carats (et le platine). Soit un or “extrêmement pur” avec lequel les bijoux sont rarement travaillés, car “il est plus difficile à travailler et exige un savoir-faire d’exception”, a ainsi expliqué Diana Widmaier-Picasso à Harper’s Bazaar France.
Des prix réévalués quotidiennement
Autre disruption dans le monde feutré des bijoux, la façon dont les plus de 600 modèles (bracelets, médaillons, pendentifs, chaînes et autres boucles d’oreilles…) sont vendus en ligne sur le site menē.com, “de façon transparente au poids en grammes”.
Ainsi, “les clients peuvent acheter des bijoux, suivre la valeur de leur collection au fil du temps et vendre ou échanger leurs pièces au poids en grammes aux prix du marché en vigueur”. Les prix indiqués des bijoux changent au jour le jour, reflétant le cours du métal précieux en temps réel.
Roy Sebag et Diana Widmaier-Picasso se sont en effet fixés “pour mission de restaurer la relation entre les bijoux et l’épargne”. Menē signifie d’ailleurs “monnaie d’échange” en araméen !
Design durable
Mais les bijoux Menē ne se pensent pas seulement comme un placement. Objets de séduction, ils affichent aussi leur valeur esthétique avec un design intemporel où certains décèleront une inspiration byzantine ou médiévale. Le tout est mis au point dans des ateliers à New York avec un or éthique sourcé dans des mines américaines et canadiennes.
La démarche est saluée non seulement par la presse (Elle France, Gala, Harper’s Bazaar France, M Le Monde, The Men Style, Point de Vue…), amatrice de success stories, mais aussi par la clientèle… qui en redemande. Les ventes de Menē à ses clients fidèles ont ainsi représenté 67 % de son chiffre d’affaires total au cours du deuxième trimestre 2023, clos le 30 juin 2023.
Chiffre d’affaires en baisse…
Lors de ce deuxième trimestre 2023, Menē a vendu 149 000 bijoux et réalisé un chiffre d’affaires IFRS de 5 millions de dollars canadiens (3,4 millions d’euros). Cela représente malgré tout un recul de 15 %, en glissement annuel (” YoY “).
La marque admet qu’il “s’agit de sa première baisse significative d’une année à l’autre dans les revenus de première ligne”. Mais que celle-ci “était prévue par la direction” et qu’elle “reflète davantage un changement d’orientation opérationnelle qu’un manque de demande” pour ses produits.
…mais des résultats qui explosent !
La société souligne d’ailleurs que “malgré la baisse des ventes en glissement annuel”, les résultats financiers de ce trimestre “démontrent la résilience croissante” de la marque “avec un résultat d’exploitation, un EBITDA ajusté et même un résultat net IFRS positifs”.
La Maison a ainsi affiché un résultat global total de 0,3 million de dollars canadiens (0,2 millions d’euros) et un résultat net de 0,7 million de dollars canadiens ( (0,5 millions d’euros), soit des augmentations respectives spectaculaires, en glissement annuel, de + 200% et + 600% !
La marge brute a, elle, atteint 1,5 million de dollars canadiens (1 million d’euros) soit une marge brute de 30%, supérieure à celle du deuxième trimestre 2022 (26%).
Changements structurels
Pour autant, l’entreprise se veut soucieuse de se déployer en bon ordre et sans précipitation. “Du point de vue du conseil d’administration et des fondateurs, nous ne sommes pas préoccupés par les comparaisons annuelles des ventes jusqu’à la fin de 2023” assure-t-elle.
Au cours des prochains trimestres, son activité commerciale “reflètera une série de changements structurels” concernant “à la fois les opérations quotidiennes” mais aussi “la stratégie à plus long terme”.
“Notre objectif est de nous assurer que nous réalisons les bons investissements dans les personnes, les processus et notre marque, tout en préservant notre capital tangible” souligne Menē dans son communiqué financier.
Recrutements
Côté Ressources Humaines, la transition “réussie”, lors du deuxième trimestre, du poste de directeur financier “d’Adil Sheikh à Gavin Johnson” est le premier d’une série de recrutements que la marque prévoit d’annoncer dans les mois à venir.
Celle-ci espère ainsi “attirer les bons cadres possédant l’expérience, la stratégie et la discipline nécessaires pour mener Menē dans sa prochaine phase de croissance”.
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Photo à la Une : © Menē [/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row njt-role=”not-logged-in”][vc_column][vc_column_text]
Lancée en 2018 par la petite-fille de Picasso, la marque de bijoux a fait le choix d’utiliser un or pur 24 carats. Et cela plaît si l’on en croit le développement de l’entreprise, qui vient de dévoiler ses résultats du deuxième trimestre 2023.
Faire de l’or, dans la famille Picasso, c’est dans les gênes. Mais si son grand-père, le célèbre peintre, en générait à foison grâce à ses œuvres, sa petite-fille, Diana Widmaier-Picasso, travaille directement cette matière précieuse.
A la base historienne de l’art et commissaire d’exposition, elle a cofondé la marque de bijoux Menē en 2018, avec Roy Sebag, à la tête d’une banque d’or (laquelle achète ce métal pour produire différents alliages et carats avant de les revendre).
Une marque disruptive en or 24 carats
Mais pas question pour autant de créer une énième marque de bijoux dont le seul atout serait de reposer sur la lignée Picasso et un argumentaire People… Même s’il est tentant de rappeler que Paloma, la tante de Diana, s’est elle-même illustrée dans la création de bijoux et que son prolifique grand-père avait lui-même imaginé quelques modèles de bijoux.
Mais la démarche de Menē est originale à plus d’un titre. La première innovation est de miser sur l’or 24 carats (et le platine). Soit un or “extrêmement pur” avec lequel les bijoux sont rarement travaillés, car “il est plus difficile à travailler et exige un savoir-faire d’exception”, a ainsi expliqué Diana Widmaier-Picasso à Harper’s Bazaar France.
Des prix réévalués quotidiennement
Autre disruption dans le monde feutré des bijoux, la façon dont les plus de 600 modèles (bracelets, médaillons, pendentifs, chaînes et autres boucles d’oreilles…) sont vendus en ligne sur le site menē.com, “de façon transparente au poids en grammes”.
Ainsi, “les clients peuvent acheter des bijoux, suivre la valeur de leur collection au fil du temps et vendre ou échanger leurs pièces au poids en grammes aux prix du marché en vigueur”. Les prix indiqués des bijoux changent au jour le jour, reflétant le cours du métal précieux en temps réel.
Roy Sebag et Diana Widmaier-Picasso se sont en effet fixés “pour mission de restaurer la relation entre les bijoux et l’épargne”. Menē signifie d’ailleurs “monnaie d’échange” en araméen !
Design durable
Mais les bijoux Menē ne se pensent pas seulement comme un placement. Objets de séduction, ils affichent aussi leur valeur esthétique avec un design intemporel où certains décèleront une inspiration byzantine ou médiévale. Le tout est mis au point dans des ateliers à New York avec un or éthique sourcé dans des mines américaines et canadiennes.
La démarche est saluée non seulement par la presse (Elle France, Gala, Harper’s Bazaar France, M Le Monde, The Men Style, Point de Vue…), amatrice de success stories, mais aussi par la clientèle… qui en redemande. Les ventes de Menē à ses clients fidèles ont ainsi représenté 67 % de son chiffre d’affaires total au cours du deuxième trimestre 2023, clos le 30 juin 2023.
Chiffre d’affaires en baisse…
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Lancée en 2018 par la petite-fille de Picasso, la marque de bijoux a fait le choix d’utiliser un or pur 24 carats. Et cela plaît si l’on en croit le développement de l’entreprise, qui vient de dévoiler ses résultats du deuxième trimestre 2023.
Faire de l’or, dans la famille Picasso, c’est dans les gênes. Mais si son grand-père, le célèbre peintre, en générait à foison grâce à ses œuvres, sa petite-fille, Diana Widmaier-Picasso, travaille directement cette matière précieuse.
A la base historienne de l’art et commissaire d’exposition, elle a cofondé la marque de bijoux Menē en 2018, avec Roy Sebag, à la tête d’une banque d’or (laquelle achète ce métal pour produire différents alliages et carats avant de les revendre).
Une marque disruptive en or 24 carats
Mais pas question pour autant de créer une énième marque de bijoux dont le seul atout serait de reposer sur la lignée Picasso et un argumentaire People… Même s’il est tentant de rappeler que Paloma, la tante de Diana, s’est elle-même illustrée dans la création de bijoux et que son prolifique grand-père avait lui-même imaginé quelques modèles de bijoux.
Mais la démarche de Menē est originale à plus d’un titre. La première innovation est de miser sur l’or 24 carats (et le platine). Soit un or “extrêmement pur” avec lequel les bijoux sont rarement travaillés, car “il est plus difficile à travailler et exige un savoir-faire d’exception”, a ainsi expliqué Diana Widmaier-Picasso à Harper’s Bazaar France.
Des prix réévalués quotidiennement
Autre disruption dans le monde feutré des bijoux, la façon dont les plus de 600 modèles (bracelets, médaillons, pendentifs, chaînes et autres boucles d’oreilles…) sont vendus en ligne sur le site menē.com, “de façon transparente au poids en grammes”.
Ainsi, “les clients peuvent acheter des bijoux, suivre la valeur de leur collection au fil du temps et vendre ou échanger leurs pièces au poids en grammes aux prix du marché en vigueur”. Les prix indiqués des bijoux changent au jour le jour, reflétant le cours du métal précieux en temps réel.
Roy Sebag et Diana Widmaier-Picasso se sont en effet fixés “pour mission de restaurer la relation entre les bijoux et l’épargne”. Menē signifie d’ailleurs “monnaie d’échange” en araméen !
Design durable
Mais les bijoux Menē ne se pensent pas seulement comme un placement. Objets de séduction, ils affichent aussi leur valeur esthétique avec un design intemporel où certains décèleront une inspiration byzantine ou médiévale. Le tout est mis au point dans des ateliers à New York avec un or éthique sourcé dans des mines américaines et canadiennes.
La démarche est saluée non seulement par la presse (Elle France, Gala, Harper’s Bazaar France, M Le Monde, The Men Style, Point de Vue…), amatrice de success stories, mais aussi par la clientèle… qui en redemande. Les ventes de Menē à ses clients fidèles ont ainsi représenté 67 % de son chiffre d’affaires total au cours du deuxième trimestre 2023, clos le 30 juin 2023.
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