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Le Premier Ministre britannique Boris Johnson a été contraint de démissionner par son propre parti. Son remplaçant devra redoubler d’efforts pour ne pas céder à la récession et relever une situation économique difficile.
Boris Johnson a annoncé jeudi dernier qu’il démissionnait de son poste de chef du Parti conservateur et de Premier ministre britannique, suite à la démission de plus de 50 ministres du gouvernement et à l’annonce de nombreux parlementaires souhaitant son départ.
Mis à mal par une série de scandales et une perte de confiance dans son intégrité, le Premier Ministre restait en poste, une situation que ses opposants, et de nombreux membres de son propre parti, jugeaient intenable.
Une situation économique et sociale fragilisée
Ces derniers temps, comme la plupart des pays européens, le Royaume-Uni fait face à une inflation forte, à une activité qui ralentit, à des taux d’intérêt qui grimpent et donc à de fortes craintes de récession économique. Avec une inflation proche de 10 % et un moindre soutien du pouvoir d’achat que ses voisins, le Royaume-Uni se trouve dans une situation compliquée.
“Le Royaume-Uni est peut-être le pays le plus inquiétant d’Europe aujourd’hui. L’inflation se généralise. Les prix de l’électricité ont augmenté de 54 % en avril et ils pourraient de nouveau grimper de 40 % en octobre” avec la guerre en Ukraine et la hausse du coût des hydrocarbures, explique Bruno De Moura Fernandes, économiste chez Coface. D’après lui, “il est très possible que le PIB britannique recule pendant trois ou quatre trimestres.”
“Avec le Brexit, les barrières commerciales ont progressé avec l’Union européenne”, commente Félix Berte, économiste chez BNP Paribas. En effet, selon une étude du laboratoire d’idées UK in a Changing Europe, le Brexit aurait entraîné une hausse de 6 % des prix de l’alimentation entre décembre 2019 et septembre 2021.
Les grèves se multiplient en Angleterre, à l’image de celle qui a touché les transports fin juin et qui était d’une ampleur jamais vue depuis les années 1990. Le climat social pourrait encore s’envenimer car le gouvernement britannique a moins soutenu le pouvoir d’achat de ses concitoyens que d’autres pays de la zone euro.
De son côté, la banque centrale d’Angleterre se retrouve dans une position délicate. “La Banque d’Angleterre est face à un arbitrage : soit elle augmente ses taux rapidement pour lutter contre l’inflation, soit elle temporise en espérant que la hausse des prix ralentisse la demande. Pour l’instant, elle relève ses taux à petits pas” explique Félix Berte.
Les cartes seront entre les mains du futur Premier ministre, avec de nombreux défis à relever pour maintenir la barre. “Quoi que le parti décide de faire ensuite, il doit le faire rapidement“, déclarait le journal Daily Telegraph dans son éditorial. “Le pays ne comprendra pas ou ne pardonnera pas une longue course à la direction au milieu d’une crise économique et avec une menace de guerre plus large en Europe toujours présente.”
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Photo à la Une : © Andrew Parsons / 10 Downing Stre/ Crown Copyright [/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row njt-role=”not-logged-in”][vc_column][vc_column_text]
Le Premier Ministre britannique Boris Johnson a été contraint de démissionner par son propre parti. Son remplaçant devra redoubler d’efforts pour ne pas céder à la récession et relever une situation économique difficile.
Boris Johnson a annoncé jeudi dernier qu’il démissionnait de son poste de chef du Parti conservateur et de Premier ministre britannique, suite à la démission de plus de 50 ministres du gouvernement et à l’annonce de nombreux parlementaires souhaitant son départ.
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Le Premier Ministre britannique Boris Johnson a été contraint de démissionner par son propre parti. Son remplaçant devra redoubler d’efforts pour ne pas céder à la récession et relever une situation économique difficile.
Boris Johnson a annoncé jeudi dernier qu’il démissionnait de son poste de chef du Parti conservateur et de Premier ministre britannique, suite à la démission de plus de 50 ministres du gouvernement et à l’annonce de nombreux parlementaires souhaitant son départ.
Mis à mal par une série de scandales et une perte de confiance dans son intégrité, le Premier Ministre restait en poste, une situation que ses opposants, et de nombreux membres de son propre parti, jugeaient intenable.
Une situation économique et sociale fragilisée
Ces derniers temps, comme la plupart des pays européens, le Royaume-Uni fait face à une inflation forte, à une activité qui ralentit, à des taux d’intérêt qui grimpent et donc à de fortes craintes de récession économique. Avec une inflation proche de 10 % et un moindre soutien du pouvoir d’achat que ses voisins, le Royaume-Uni se trouve dans une situation compliquée.
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