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Dans la capitale française, c’est l’effervescence. A l’occasion de la Fashion Week Haute Couture automne-hiver 2023-2024, la mode fait abstraction des tensions qui règnent. Depuis lundi, les plus grandes marques révèlent des collections spectaculaires. De Chanel à Dior en passant par Schiaparelli, zoom sur les premiers défilés marquants.
Iris Van Herpen : la croisée entre deux mondes
La designer néerlandaise a offert un spectacle captivant et mouvant aux invités du défilé. On se croirait presque dans -Avatar : la voie de l’eau- avec cette collection qui s’inspire à la fois des villes flottantes et du concept de design bionique. C’est une vision singulière et futuriste de l’homme, qui habite à la fois sur terre et en mer. Comme deux mondes opposés qui se croisent pour ne former qu’un.
Comme à chaque fois, Iris Van Herpen fait part au monde de son talent et de sa créativité débordante et unique, en s’éloignant des tendances, et parfois même de la mode au sens propre du terme.
Dans cette collection, elle s’est inspirée avant toute chose de Jacques Rougerie, connu sous le nom d’architecte de la mer et de Bjarke Ingels, inventeur de la première ville flottante du monde.
Elle-même qualifiée d’architecte, elle redéfinit à chaque fois les limites traditionnelles de la mode. Cette nouvelle collection baptisée Architectonics est une parfaite symbiose entre mouvement et immobilité, terre et mer, présent et futur.
Au fur et à mesure que les mannequins avancent, chaque modèle prend vie et s’anime.
La palette de couleurs, chatoyante et brillante, nous emmène dans le monde enchanté d’Iris Van Herpen. Entre déesses, femmes guerrières ou princesses, une chose est sûre, ses créations sont destinées à des femmes fortes !
Schiaparelli : un mélange entre mode et art qui fait fureur
Cette année, ce ne sont pas des animaux, mais bien des artistes qui sont à l’honneur du nouveau défilé Schiaparelli automne-hiver 2023. Daniel Roseberry, directeur créatif de la maison depuis 2019, a trouvé son inspiration chez les nombreux artistes avec lesquels la créatrice éponyme a eu l’occasion de collaborer tout au long de sa vie.
Comme l’année dernière, c’est dans l’enceinte du Petit Palais que le show a eu lieu, réunissant quelque 500 invités.
Des proportions exagérées, des coupes maîtrisées à la perfection et des tenues à la pointe de la mode, qui oscillent entre vêtements et œuvres d’art. Pour qualifier cette nouvelle collection, Daniel Roseberry parle d’ “interprétation surréaliste de la garde robe“.
Parmi les looks, certains ont attiré notre attention comme ce manteau en laine feutrée couleur crème, accompagné de broderies en trompe-l’œil évoquant des bras articulés. Ou encore ce tailleur tout en miroirs, jupe taille basse et veste semi ouverte, qui s’inspire des mosaïques du sculpteur Jack Whitten.
Outre ces créations incroyables, Daniel Roseberry a une fois de plus mis l’accent sur sa signature fétiche : les accessoires. Moulages d’oreille, manchettes métalliques ornées de visage. Et pour un énième rappel au monde de l’art, certaines mannequins étaient partiellement recouvertes de teinture bleu roi sur le visage, le cou ou le corps, clin d’œil au célèbre bleu Klein de l’artiste éponyme.
Chanel : le chic à la française
Une fois de plus, la Maison française par excellence a fait rêver ses invités et la capitale toute entière lors d’un show organisé en bord de scène, la Dame de fer et les ponts emblématiques parisiens en guise de décor.
La première mannequin à ouvrir le bal n’était autre que l’égérie française de la Maison, Caroline de Maigret. Elle était vêtue d’un manteau croisé accompagné d’un long pantalon, tous deux en tweed bleu marine. Les autres looks se scindaient en deux ambiances. D’un côté, on pouvait apercevoir des tailleurs pantalons ou jupes et autres ensembles en tweed, matière fétiche de Chanel. De l’autre, des looks bohème chics avec des robes, des chemisiers, des jupes agrémentées de broderies florales et des motifs graphiques.
L’une des mannequins était accompagnée par un adorable petit être à poil long, qui n’était autre que le labrador de la soeur de Virginie Viard, l’actuelle directrice artistique de Chanel.
Comme tout défilé Haute Couture, la tradition veut que le show se clôture par une robe de mariée. L’heureuse élue était une mannequin coréenne nommée Shin Hyun-ji, qui est arrivée sur le catwalk arborant une robe d’un blanc immaculé en organza avec des pétales en tissu à l’encolure. La Parisienne était donc à l’honneur pour ce show 100 % frenchy, du décor aux invités en passant par les inspirations.
Dior : les déesses antiques sont les nouvelles muses
Comme à son habitude, Maria Grazia Chiuri a dévoilé une nouvelle collection d’une rare beauté, cette fois-ci inspirée par les divinités grecques. C’est dans l’un des musées de sculptures les plus célèbres au monde –le musée Rodin– que les mannequins ont frôlé le catwalk.
A chaque défilé, ses femmes fortes. Après la collection couture présentée en janvier dernier, qui rendait hommage à Joséphine Baker, la Maison se tourne cette fois-ci vers la figure mythique de la déesse grecque. Dès les premiers looks, défilent de longues robes volantes, des jupes plissées accompagnées de hauts en organza ou encore des robes d’inspiration guerrière ou gladiatrice. On remarque également un travail minutieux autour de la dentelle et de la broderie, qui montre le savoir-faire unique de la Maison parisienne.
La palette de couleurs s’étale du blanc au gris en passant par le beige, l’argenté et le doré. Des couleurs aux formes des vêtements, Maria Grazia a réussi un prodige, mélangeant les époques et les genres. Une déesse grecque pouvait très bien porter l’un de ses 60 looks, aussi bien que la femme moderne.
La designer italienne s’est exprimée dans une note accompagnant le défilé : “J’ai étudié les iconographies des différentes déesses qui sont presque toujours associées à des animaux et je me suis reproduite en imitant leurs postures, d’abord de façon performative, je recopiais leurs poses et leurs mouvements avec mon corps, incarnant leur étrangeté jusqu’à ce que je me les approprie“.
Lire aussi >Le début de la Fashion Week Haute Couture assombri par le climat de tension parisien
Photo à la Une : ©Presse[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row njt-role=”not-logged-in”][vc_column][vc_column_text]
Dans la capitale française, c’est l’effervescence. A l’occasion de la Fashion Week Haute Couture automne-hiver 2023-2024, la mode fait abstraction des tensions qui règnent. Depuis lundi, les plus grandes marques révèlent des collections spectaculaires. De Chanel à Dior en passant par Schiaparelli, zoom sur les premiers défilés marquants.
Iris Van Herpen : la croisée entre deux mondes
La designer néerlandaise a offert un spectacle captivant et mouvant aux invités du défilé. On se croirait presque dans -Avatar : la voie de l’eau- avec cette collection qui s’inspire à la fois des villes flottantes et du concept de design bionique. C’est une vision singulière et futuriste de l’homme, qui habite à la fois sur terre et en mer. Comme deux mondes opposés qui se croisent pour ne former qu’un.
Comme à chaque fois, Iris Van Herpen fait part au monde de son talent et de sa créativité débordante et unique, en s’éloignant des tendances, et parfois même de la mode au sens propre du terme.
Dans cette collection, elle s’est inspirée avant toute chose de Jacques Rougerie, connu sous le nom d’architecte de la mer et de Bjarke Ingels, inventeur de la première ville flottante du monde.
Elle-même qualifiée d’architecte, elle redéfinit à chaque fois les limites traditionnelles de la mode. Cette nouvelle collection baptisée Architectonics est une parfaite symbiose entre mouvement et immobilité, terre et mer, présent et futur.
Au fur et à mesure que les mannequins avancent, chaque modèle prend vie et s’anime.
La palette de couleurs, chatoyante et brillante, nous emmène dans le monde enchanté d’Iris Van Herpen. Entre déesses, femmes guerrières ou princesses, une chose est sûre, ses créations sont destinées à des femmes fortes !
Schiaparelli : un mélange entre mode et art qui fait fureur
Cette année, ce ne sont pas des animaux, mais bien des artistes qui sont à l’honneur du nouveau défilé Schiaparelli automne-hiver 2023. Daniel Roseberry, directeur créatif de la maison depuis 2019, a trouvé son inspiration chez les nombreux artistes avec lesquels la créatrice éponyme a eu l’occasion de collaborer tout au long de sa vie.
Comme l’année dernière, c’est dans l’enceinte du Petit Palais que le show a eu lieu, réunissant quelque 500 invités.
Des proportions exagérées, des coupes maîtrisées à la perfection et des tenues à la pointe de la mode, qui oscillent entre vêtements et œuvres d’art. Pour qualifier cette nouvelle collection, Daniel Roseberry parle d’ “interprétation surréaliste de la garde robe“.
Parmi les looks, certains ont attiré notre attention comme ce manteau en laine feutrée couleur crème, accompagné de broderies en trompe-l’œil évoquant des bras articulés. Ou encore ce tailleur tout en miroirs, jupe taille basse et veste semi ouverte, qui s’inspire des mosaïques du sculpteur Jack Whitten.
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Dans la capitale française, c’est l’effervescence. A l’occasion de la Fashion Week Haute Couture automne-hiver 2023-2024, la mode fait abstraction des tensions qui règnent. Depuis lundi, les plus grandes marques révèlent des collections spectaculaires. De Chanel à Dior en passant par Schiaparelli, zoom sur les premiers défilés marquants.
Iris Van Herpen : la croisée entre deux mondes
La designer néerlandaise a offert un spectacle captivant et mouvant aux invités du défilé. On se croirait presque dans -Avatar : la voie de l’eau- avec cette collection qui s’inspire à la fois des villes flottantes et du concept de design bionique. C’est une vision singulière et futuriste de l’homme, qui habite à la fois sur terre et en mer. Comme deux mondes opposés qui se croisent pour ne former qu’un.
Comme à chaque fois, Iris Van Herpen fait part au monde de son talent et de sa créativité débordante et unique, en s’éloignant des tendances, et parfois même de la mode au sens propre du terme.
Dans cette collection, elle s’est inspirée avant toute chose de Jacques Rougerie, connu sous le nom d’architecte de la mer et de Bjarke Ingels, inventeur de la première ville flottante du monde.
Elle-même qualifiée d’architecte, elle redéfinit à chaque fois les limites traditionnelles de la mode. Cette nouvelle collection baptisée Architectonics est une parfaite symbiose entre mouvement et immobilité, terre et mer, présent et futur.
Au fur et à mesure que les mannequins avancent, chaque modèle prend vie et s’anime.
La palette de couleurs, chatoyante et brillante, nous emmène dans le monde enchanté d’Iris Van Herpen. Entre déesses, femmes guerrières ou princesses, une chose est sûre, ses créations sont destinées à des femmes fortes !
Schiaparelli : un mélange entre mode et art qui fait fureur
Cette année, ce ne sont pas des animaux, mais bien des artistes qui sont à l’honneur du nouveau défilé Schiaparelli automne-hiver 2023. Daniel Roseberry, directeur créatif de la maison depuis 2019, a trouvé son inspiration chez les nombreux artistes avec lesquels la créatrice éponyme a eu l’occasion de collaborer tout au long de sa vie.
Comme l’année dernière, c’est dans l’enceinte du Petit Palais que le show a eu lieu, réunissant quelque 500 invités.
Des proportions exagérées, des coupes maîtrisées à la perfection et des tenues à la pointe de la mode, qui oscillent entre vêtements et œuvres d’art. Pour qualifier cette nouvelle collection, Daniel Roseberry parle d’ “interprétation surréaliste de la garde robe“.
Parmi les looks, certains ont attiré notre attention comme ce manteau en laine feutrée couleur crème, accompagné de broderies en trompe-l’œil évoquant des bras articulés. Ou encore ce tailleur tout en miroirs, jupe taille basse et veste semi ouverte, qui s’inspire des mosaïques du sculpteur Jack Whitten.
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