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La Maison de couture Dolce & Gabbana, qui a repris les activités beauté en interne l’année dernière, souhaite augmenter sa valeur de 1 à 3 milliards d’euros en 3 ans. Il s’agit d’un projet ambitieux, mais qui pourrait s’avérer, à terme, très rentable pour la société.
Dolce & Gabbana (D&G) prévoit de dominer le marché de la beauté. Depuis qu’elle a repris son activité beauté en interne, la Maison de couture s’est donnée pour mission de transformer cette division qui englobe les parfums, le maquillage et les soins de la peau.
Dolce & Gabbana prévoit ainsi de faire passer la valeur des ventes au détail de sa division beauté de 1 milliard d’euros à 3 milliards d’euros (3,3 milliards de dollars américains) en trois ans seulement.
Elle s’appuiera sur une stratégie d’innovation comprenant de nouveaux parfums féminins, une refonte complète de son offre de maquillage, une entrée dans les soins de la peau et le lancement d’espaces beauté dédiés au sein des boutiques de détail existantes.
« Mon objectif est très humble – je veux l’immortalité professionnelle », a déclaré Gianluca Toniolo, le nouveau directeur opérationnel de Dolce & Gabbana Beauty et ancien directeur général du travel retail mondial chez LVMH. « Mon rôle est de traduire les idées de Stefano et Domenico [les fondateurs de D&G] en projets concrets qui représentent mieux la marque dans la catégorie beauté. Je veux que tout le monde dans l’industrie se souvienne du moment où D&G Beauty a décidé de sortir de la norme, et de qui était le leader de ce projet réussi. »
Pour sonner cette nouvelle ère, D&G a dévoilé, l’année dernière, qu’elle transférerait le développement, la fabrication et les opérations de sa division beauté en interne, au siège de Milan. Une première en 38 ans d’histoire.
Rupture avec Shiseido
En 2021, le groupe japonais de cosmétiques Shiseido a annoncé son intention de mettre fin à son accord de licence avec la maison de couture italienne, contracté en 2016. L’entreprise japonaise avait déclaré vouloir se concentrer sur son activité de soins de la peau de prestige.
Alfonso Dolce, directeur général de Dolce & Gabbana et frère du cofondateur Domenico Dolce, estime que la beauté peut être une activité nettement plus importante pour le groupe.
Le secteur beauté de la marque, géré jusqu’ici à travers des licences et pesant autour de 1 milliard d’euros, prévoit d’embaucher pour constituer, à terme, une équipe mondiale de 350 à 500 personnes.
Qualité supérieure
Toutes les grandes catégories de produits de beauté ont progressé aux États-Unis en 2021, mais aucune aussi rapidement que l’industrie des parfums. Cette dernière pèse 6,3 milliards de dollars et a augmenté de 35 % par rapport aux niveaux antérieurs à la pandémie. On relève d’ailleurs que les produits les plus chers – les grands flacons, les eaux de parfum très concentrées, les parfums artisanaux et les produits des marques de créateurs – sont les plus performants.
« C’est un marché très sain et très excitant sur lequel ils se lancent », a déclaré Larissa Jensen, conseillère pour l’industrie de la beauté au groupe d’études de marché NPD. « Pour la première fois dans l’histoire, la catégorie des parfums est maintenant de la même taille que celle des soins de la peau ».
Selon Gianluca Toniolo, Dolce & Gabbana, qui tire 95 % de son chiffre d’affaires dans le secteur de la beauté et des parfums, est donc bien préparée pour son expansion.
La société prévoit d’introduire des parfums « très rares, de qualité italienne », les nouveaux lancements coûtant environ 50 % de plus que les parfums de la marque actuellement sur le marché. « Nous devons aller dans le très haut de gamme », a-t-il ajouté.
Projet ambitieux
Les marques de mode et de luxe font partie du marché de la beauté depuis que Chanel a lancé son premier parfum en 1921. Cependant, elles restent de petits acteurs par rapport aux leaders du secteur tels que L’Oréal et Unilever.
Seule une poignée de marques de mode, dont Chanel et Dior, gèrent la fabrication et la distribution de leurs produits de beauté. La grande majorité d’entre elles concèdent leurs noms sous licence à des spécialistes tiers comme le français Interparfums, l’américain Coty ou encore l’espagnol Puig.
La reprise d’une activité beauté en interne peut être coûteuse et complexe. Burberry a brièvement pris en charge son activité beauté en 2013, peu avant le départ d’Angela Ahrendts, alors PDG, mais a conclu un accord de licence avec Coty en 2017.
En attendant d’atteindre cet objectif, Dolce & Gabbana prévoit également d’élargir sa gamme de cosmétiques de couleur et de se lancer dans les soins de la peau. Gianluca Toniolo a cependant déclaré qu’elle éviterait certaines catégories telles que les produits anti-âge car elle n’est « pas une société technologique comme Estée Lauder ou Shiseido ».
Estée Lauder mise particulièrement sur le développement de son offre parfums, que ce soit les parfums de prestige développés en 2021 ou encore à travers la marque Tom Ford Beauty, rachetée l’année dernière. La marque est à la pointe de la technologie en particulier sur les solutions basées sur l’intelligence artificielle. Le N°2 de la beauté mondial est ainsi un des pionniers dans l’essayage virtuel de produits de maquillage, grâce à un partenariat fructueux avec la société Perfect Corp.
Lire aussi >Dolce & Gabbana se lance dans l’immobilier
Photo à la Une : © Presse[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row njt-role=”not-logged-in”][vc_column][vc_column_text]
La Maison de couture Dolce & Gabbana, qui a repris les activités beauté en interne l’année dernière, souhaite augmenter sa valeur de 1 à 3 milliards d’euros en 3 ans. Il s’agit d’un projet ambitieux, mais qui pourrait s’avérer, à terme, très rentable pour la société.
Dolce & Gabbana (D&G) prévoit de dominer le marché de la beauté. Depuis qu’elle a repris son activité beauté en interne, la Maison de couture s’est donnée pour mission de transformer cette division qui englobe les parfums, le maquillage et les soins de la peau.
Dolce & Gabbana prévoit ainsi de faire passer la valeur des ventes au détail de sa division beauté de 1 milliard d’euros à 3 milliards d’euros (3,3 milliards de dollars américains) en trois ans seulement.
Elle s’appuiera sur une stratégie d’innovation comprenant de nouveaux parfums féminins, une refonte complète de son offre de maquillage, une entrée dans les soins de la peau et le lancement d’espaces beauté dédiés au sein des boutiques de détail existantes.
« Mon objectif est très humble – je veux l’immortalité professionnelle », a déclaré Gianluca Toniolo, le nouveau directeur opérationnel de Dolce & Gabbana Beauty et ancien directeur général du travel retail mondial chez LVMH. « Mon rôle est de traduire les idées de Stefano et Domenico [les fondateurs de D&G] en projets concrets qui représentent mieux la marque dans la catégorie beauté. Je veux que tout le monde dans l’industrie se souvienne du moment où D&G Beauty a décidé de sortir de la norme, et de qui était le leader de ce projet réussi. »
Pour sonner cette nouvelle ère, D&G a dévoilé, l’année dernière, qu’elle transférerait le développement, la fabrication et les opérations de sa division beauté en interne, au siège de Milan. Une première en 38 ans d’histoire.
Rupture avec Shiseido
En 2021, le groupe japonais de cosmétiques Shiseido a annoncé son intention de mettre fin à son accord de licence avec la maison de couture italienne, contracté en 2016. L’entreprise japonaise avait déclaré vouloir se concentrer sur son activité de soins de la peau de prestige.
Alfonso Dolce, directeur général de Dolce & Gabbana et frère du cofondateur Domenico Dolce, estime que la beauté peut être une activité nettement plus importante pour le groupe.
Le secteur beauté de la marque, géré jusqu’ici à travers des licences et pesant autour de 1 milliard d’euros, prévoit d’embaucher pour constituer, à terme, une équipe mondiale de 350 à 500 personnes.
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La Maison de couture Dolce & Gabbana, qui a repris les activités beauté en interne l’année dernière, souhaite augmenter sa valeur de 1 à 3 milliards d’euros en 3 ans. Il s’agit d’un projet ambitieux, mais qui pourrait s’avérer, à terme, très rentable pour la société.
Dolce & Gabbana (D&G) prévoit de dominer le marché de la beauté. Depuis qu’elle a repris son activité beauté en interne, la Maison de couture s’est donnée pour mission de transformer cette division qui englobe les parfums, le maquillage et les soins de la peau.
Dolce & Gabbana prévoit ainsi de faire passer la valeur des ventes au détail de sa division beauté de 1 milliard d’euros à 3 milliards d’euros (3,3 milliards de dollars américains) en trois ans seulement.
Elle s’appuiera sur une stratégie d’innovation comprenant de nouveaux parfums féminins, une refonte complète de son offre de maquillage, une entrée dans les soins de la peau et le lancement d’espaces beauté dédiés au sein des boutiques de détail existantes.
« Mon objectif est très humble – je veux l’immortalité professionnelle », a déclaré Gianluca Toniolo, le nouveau directeur opérationnel de Dolce & Gabbana Beauty et ancien directeur général du travel retail mondial chez LVMH. « Mon rôle est de traduire les idées de Stefano et Domenico [les fondateurs de D&G] en projets concrets qui représentent mieux la marque dans la catégorie beauté. Je veux que tout le monde dans l’industrie se souvienne du moment où D&G Beauty a décidé de sortir de la norme, et de qui était le leader de ce projet réussi. »
Pour sonner cette nouvelle ère, D&G a dévoilé, l’année dernière, qu’elle transférerait le développement, la fabrication et les opérations de sa division beauté en interne, au siège de Milan. Une première en 38 ans d’histoire.
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Le secteur beauté de la marque, géré jusqu’ici à travers des licences et pesant autour de 1 milliard d’euros, prévoit d’embaucher pour constituer, à terme, une équipe mondiale de 350 à 500 personnes.
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