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Bijoux : Quel avenir pour le secteur de la joaillerie?

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La crise sanitaire mondiale a bousculé les esprits des consommateurs qui désormais ne consomment plus de la même manière. En période de crise, alors que l’achat de bijoux peut sembler être effacé des esprits, les chiffres nous montrent que les consommateurs sont loins d’être restés timides dans leurs dépenses.

 

La pandémie mondiale touche les entreprises depuis le mois de mars et contraint de plus en plus à la suppression de postes. Le chômage est en hausse et réduit le pouvoir d’achat des consommateurs qui doivent hiérarchiser leurs achats d’obligation.

 

En conséquence, l’achat de bijoux peut être remis en question dans les esprits des consommateurs où chacun doit faire attention à ses dépenses. La joaillerie est ainsi devenue pour certains un achat irrationnel et inutile dans une période de récession telle que celle que l’on vit actuellement.

 

Pour autant, les chiffres nous montrent le contraire. Si la quantité d’achats de bijoux dans un panier a diminué, la valeur des ventes a néanmoins augmenté.

 

De nombreux bijoutiers et détaillants auraient parfaitement résisté à la crise comparés à d’autres secteurs de ventes aux détails, avec des chiffres plutôt positifs. Les titres en bourse de Pandora et Tiffany par exemple seraient sur la bonne voie tout comme le détaillant mondial chinois en bijoux Chow Tai Fook qui a vu ses actions remonter comparé aux chiffres de l’année 2018. L’entreprise néo-zélandaise Michael Hill International et la chaîne américaine Signet Jewelers voient également leurs chiffres en hausse ainsi que le cours des actions de LVMH en France qui affichent des résultats comparables à ceux de novembre 2019.

 

Qu’est-ce que cela nous révèle sur les consommateurs d’aujourd’hui? Les études montrent que les consommateurs aspirent à cette quête de stabilité et de sens à laquelle répondent les bijoux qu’ils portent en permanence.

 

Cela se traduit à l’heure actuelle, dans la période que l’on traverse, et durant laquelle les humains ont besoin de se raccrocher à quelque chose qui leur appartient et de sécuritaire, dans lequel ils peuvent se retrouver. Le secteur de la bijouterie a augmenté grâce à cela et notamment par la réparation de bijoux provenant d’héritages familiaux, de leur évaluation ou leur rénovation.

 

C’est grâce à ce besoin significatif que les détaillants proposant ces prestations uniques et personnalisées, notamment ceux de la haute joaillerie, qui ont su prospérer durant cette période difficile où d’autres n’ont pas réussi.

 

Cette évolution montre la tendance actuelle où l’acte d’achat est plus réfléchi et plus significatif, montrant la volonté des consommateurs de vivre des expériences mémorables et construire des relations solides. Ces désirs humains servent positivement aux bijoutiers qui peuvent y répondre en renouvelant la vie d’objets personnels ou en proposant des bijoux de qualité qui tiennent dans le temps, que les consommateurs peuvent s’acheter pour leur propre plaisir ou se faire offrir et par conséquent de répondre à ce sentiment d’appartenance dont ils ont besoin.

 

Lire aussi > CHOPARD X MARION COTILLARD : UN NOUVEAU PROJET ÉTHIQUE DE HAUTE JOAILLERIE

 

Photo à la Une : © Louis Vuitton[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row njt-role=”not-logged-in”][vc_column][vc_column_text]

La crise sanitaire mondiale a bousculé les esprits des consommateurs qui désormais ne consomment plus de la même manière. En période de crise, alors que l’achat de bijoux peut sembler être effacé des esprits, les chiffres nous montrent que les consommateurs sont loins d’être restés timides dans leurs dépenses.

 

La pandémie mondiale touche les entreprises depuis le mois de mars et contraint de plus en plus à la suppression de postes. Le chômage est en hausse et réduit le pouvoir d’achat des consommateurs qui doivent hiérarchiser leurs achats d’obligation.

 

En conséquence, l’achat de bijoux peut être remis en question dans les esprits des consommateurs où chacun doit faire attention à ses dépenses. La joaillerie est ainsi devenue pour certains un achat irrationnel et inutile dans une période de récession telle que celle que l’on vit actuellement.

 

Pour autant, les chiffres nous montrent le contraire. Si la quantité d’achats de bijoux dans un panier a diminué, la valeur des ventes a néanmoins augmenté.

 

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La crise sanitaire mondiale a bousculé les esprits des consommateurs qui désormais ne consomment plus de la même manière. En période de crise, alors que l’achat de bijoux peut sembler être effacé des esprits, les chiffres nous montrent que les consommateurs sont loins d’être restés timides dans leurs dépenses.

 

La pandémie mondiale touche les entreprises depuis le mois de mars et contraint de plus en plus à la suppression de postes. Le chômage est en hausse et réduit le pouvoir d’achat des consommateurs qui doivent hiérarchiser leurs achats d’obligation.

 

En conséquence, l’achat de bijoux peut être remis en question dans les esprits des consommateurs où chacun doit faire attention à ses dépenses. La joaillerie est ainsi devenue pour certains un achat irrationnel et inutile dans une période de récession telle que celle que l’on vit actuellement.

 

Pour autant, les chiffres nous montrent le contraire. Si la quantité d’achats de bijoux dans un panier a diminué, la valeur des ventes a néanmoins augmenté.

 

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