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La marque allemande devient le premier constructeur automobile au monde à obtenir une certification de niveau 3 de la conduite autonome aux États-Unis.
Tesla l’a promis, Mercedes l’a fait. La marque à l’étoile a décidé de passer la vitesse supérieure, en devenant la première au monde à obtenir une certification de niveau 3 pour son système de conduite autonome sur le sol américain, pour l’instant dans le seul Etat du Nevada.
Pour rappel, la conduite autonome de Mercedes, baptisée Drive Pilot, s’appuie sur des capteurs à ultrasons, un radar, un détecteur d’humidité placé sous le passage des roues, une antenne GPS et plusieurs caméras permettant de scanner l’environnement et d’analyser le niveau d’attention du conducteur. Il y a également la présence d’un lidar, un multi-radar qui existe aussi sur les Tesla, offrant une portée multipliée par trois, une meilleure définition d’image et un angle de vue plus large.
Pour rentrer dans les détails, sa technologie est devenue conforme aux exigences d’une loi (loi 482A) concernant les véhicules intelligents, que le Nevada est le premier Etat à adopter. Il s’agit donc d’une étape majeure faisant du Drive pilot le premier et unique système de niveau 3 autorisé sur des routes américaines. Bien sûr, son utilisation reste soumise à certaines conditions. Par exemple, le système ne peut être activé au-dessus des 65 km/h.
Sur le territoire américain, plusieurs marques automobiles disposent d’une solution de conduite autonome comme Tesla avec le FSD ou encore Ford avec BlueCruise. Mais en obtenant cette certification dans le Nevada, Mercedes prend une avance considérable sur ses concurrents, au risque de dépasser Tesla, qui se trouvait jusqu’alors presque seul sur ce marché de niche.
Conducteur inapte : véhicule immobilisé
Dorénavant, en cas d’accident avec la technologie activée, la responsabilité légale du conducteur n’est plus engagée. La faute en incombera au constructeur allemand.
Pour renforcer la sécurité, si le conducteur n’est pas apte à reprendre le volant, Drive Pilot peut déclencher automatiquement l’arrêt du véhicule, appeler les secours et désactiver le verrouillage des portières.
C’est justement la présence de cette fonctionnalité, absente chez d’autres concurrents, qui a permis à Mercedes d’obtenir cette précieuse certification de niveau 3. Pour rappel, le constructeur automobile allemand avait déjà obtenu l’autorisation d’utiliser Drive Pilot sur les routes allemandes de son propre pays en 2021.
Prochaine étape pour Mercedes ? L’obtention de cette certification sur le sol californien.
Lire aussi >Inde : Mercedes-Benz prend de l’avance sur son rival Tesla
Photo à la Une : ©Presse [/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row njt-role=”not-logged-in”][vc_column][vc_column_text]
La marque allemande devient le premier constructeur automobile au monde à obtenir une certification de niveau 3 de la conduite autonome aux États-Unis.
Tesla l’a promis, Mercedes l’a fait. La marque à l’étoile a décidé de passer la vitesse supérieure, en devenant la première au monde à obtenir une certification de niveau 3 pour son système de conduite autonome sur le sol américain, pour l’instant dans le seul Etat du Nevada.
Pour rappel, la conduite autonome de Mercedes, baptisée Drive Pilot, s’appuie sur des capteurs à ultrasons, un radar, un détecteur d’humidité placé sous le passage des roues, une antenne GPS et plusieurs caméras permettant de scanner l’environnement et d’analyser le niveau d’attention du conducteur. Il y a également la présence d’un lidar, un multi-radar qui existe aussi sur les Tesla, offrant une portée multipliée par trois, une meilleure définition d’image et un angle de vue plus large.
Pour rentrer dans les détails, sa technologie est devenue conforme aux exigences d’une loi (loi 482A) concernant les véhicules intelligents, que le Nevada est le premier Etat à adopter. Il s’agit donc d’une étape majeure faisant du Drive pilot le premier et unique système de niveau 3 autorisé sur des routes américaines. Bien sûr, son utilisation reste soumise à certaines conditions. Par exemple, le système ne peut être activé au-dessus des 65 km/h.
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La marque allemande devient le premier constructeur automobile au monde à obtenir une certification de niveau 3 de la conduite autonome aux États-Unis.
Tesla l’a promis, Mercedes l’a fait. La marque à l’étoile a décidé de passer la vitesse supérieure, en devenant la première au monde à obtenir une certification de niveau 3 pour son système de conduite autonome sur le sol américain, pour l’instant dans le seul Etat du Nevada.
Pour rappel, la conduite autonome de Mercedes, baptisée Drive Pilot, s’appuie sur des capteurs à ultrasons, un radar, un détecteur d’humidité placé sous le passage des roues, une antenne GPS et plusieurs caméras permettant de scanner l’environnement et d’analyser le niveau d’attention du conducteur. Il y a également la présence d’un lidar, un multi-radar qui existe aussi sur les Tesla, offrant une portée multipliée par trois, une meilleure définition d’image et un angle de vue plus large.
Pour rentrer dans les détails, sa technologie est devenue conforme aux exigences d’une loi (loi 482A) concernant les véhicules intelligents, que le Nevada est le premier Etat à adopter. Il s’agit donc d’une étape majeure faisant du Drive pilot le premier et unique système de niveau 3 autorisé sur des routes américaines. Bien sûr, son utilisation reste soumise à certaines conditions. Par exemple, le système ne peut être activé au-dessus des 65 km/h.
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