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La 100e édition du Salon de l’Auto bruxellois a attiré plus de 265 000 personnes en neuf jours, sur le site de Brussels expo. Une “pleine réussite” selon les organisateurs mais l’avis est plus mitigé côté visiteurs. Retour sur neuf jours placés sous le signe de l’automobile.
Le Salon de l’Auto bruxellois a ouvert ses portes le 14 janvier dernier, avant de les fermer hier à 19h, au grand dam des férus d’automobile. Après deux ans d’absence, il est revenu en force et, pour la Febiac (Fédération belge et luxembourgeoise de l’automobile et du cycle) qui organise l’événement, le pari a été tenu. Néanmoins, l’objectif fixé à 300 000 visiteurs n’a pas été atteint. Le Salon reste malgré tout l’événement indoor le plus important de Belgique. “Nous avons accueilli environ 30 000 personnes par jour” affirme Gabriel Goffoy, directeur de la Febiac.
Jeep Avenger désigné Car of the year
Cette édition anniversaire a rassemblé 95 % du marché automobile belge, dans une surface réduite par rapport aux années précédentes. Parmi les moments phares, il y a eu quinze représentations de premières mondiales et européennes et pour la première fois au Salon de Bruxelles, s’est déroulée l’élection de la voiture européenne de l’année.
C’est le SUV Jeep Avenger qui a été désignée “car of the year”. Cette compétition annuelle, qui a lieu depuis 1964, récompense la meilleure voiture en vente sur le sol européen. Plusieurs critères sont pris en compte comme le confort, la sécurité, l’économie, la performance environnementale, le comportement sur la route, la fonctionnalité, le plaisir de de la conduite, l’innovation technique et enfin le rapport qualité-prix.
Le jury était composé cette année de 61 journalistes internationaux. La Jeep Avenger était en compétition avec sept autres véhicules, à savoir la Nissan Ariya, la Kia Niro, la Peugeot 408 hybride, la Renault Austral, la Subaru Soltera, la Toyota bZ4X et enfin la Volkswagen ID.
Outre la remise médiatisée de ce prix, les visiteurs ont pu admirer et découvrir de nouveaux concepts ainsi que de nouveaux constructeurs chinois et assister à des animations. Pour la journée presse, dédiée aux professionnels du secteur, de grands patrons de marques avaient fait le déplacement jusqu’à la capitale belge. L’occasion pour les prochaines éditions de faire du Salon bruxellois un événement incontournable à l’échelle internationale, voire mondiale ?
Les visiteurs moins enthousiastes que les organisateurs
Si la Febiac se montre enthousiaste sur ce come back, ce n’est cependant pas le cas de tous les visiteurs. Certes, plus de 265 000 personnes avaient fait le déplacement mais certains éléments ont manqué à l’appel.
D’autres visiteurs ont d’abord regretté un manque de place entre les stands et les voitures, rendant la circulation difficile. Pour les motards, il n’y avait pas assez de modèles de motos présentés. Ils étaient seulement une dizaine, sous les marquies Honda et BMW.
Autre hic : certaines marques ont brillé par leur absence comme Volvo et Mercedes. Le premier constructeur a fait le choix de ne plus avoir de stands sur les Salons car sa clientèle, en majorité professionnelle, n’est pas intéressée par la saisonnalité des événements. Mercedes a exposé certaines de ses nouveautés dans l’allée principale. Mais comme son concurrent, elle n’a pas souhaité avoir de stand, car les clients préfèrent un conseil sur mesure pour choisir leur prochain véhicule.
Enfin, on pouvait relever une dernière ombre au tableau. Comme sur le Salon de l’Auto à Paris, les voitures hybrides et électriques étaient les stars. Mais, les acheteurs restent méfiants quant à ces nouvelles innovations automobiles, tant sur le plan financier que logistique. Le Salon a joué son rôle d’information et de précurseur de tendances. Mais il n’est pas encore parvenu à vaincre le scepticisme ambiant.
Lire aussi >Mondial de l’auto : les voitures à hydrogène, stars des podiums
Photo à la Une : ©Presse [/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row njt-role=”not-logged-in”][vc_column][vc_column_text]
La 100e édition du Salon de l’Auto bruxellois a attiré plus de 265 000 personnes en neuf jours, sur le site de Brussels expo. Une “pleine réussite” selon les organisateurs mais l’avis est plus mitigé côté visiteurs. Retour sur neuf jours placés sous le signe de l’automobile.
Le Salon de l’Auto bruxellois a ouvert ses portes le 14 janvier dernier, avant de les fermer hier à 19h, au grand dam des férus d’automobile. Après deux ans d’absence, il est revenu en force et, pour la Febiac (Fédération belge et luxembourgeoise de l’automobile et du cycle) qui organise l’événement, le pari a été tenu. Néanmoins, l’objectif fixé à 300 000 visiteurs n’a pas été atteint. Le Salon reste malgré tout l’événement indoor le plus important de Belgique. “Nous avons accueilli environ 30 000 personnes par jour” affirme Gabriel Goffoy, directeur de la Febiac.
Jeep Avenger désigné Car of the year
Cette édition anniversaire a rassemblé 95 % du marché automobile belge, dans une surface réduite par rapport aux années précédentes. Parmi les moments phares, il y a eu quinze représentations de premières mondiales et européennes et pour la première fois au Salon de Bruxelles, s’est déroulée l’élection de la voiture européenne de l’année.
C’est le SUV Jeep Avenger qui a été désignée “car of the year”. Cette compétition annuelle, qui a lieu depuis 1964, récompense la meilleure voiture en vente sur le sol européen. Plusieurs critères sont pris en compte comme le confort, la sécurité, l’économie, la performance environnementale, le comportement sur la route, la fonctionnalité, le plaisir de de la conduite, l’innovation technique et enfin le rapport qualité-prix.
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La 100e édition du Salon de l’Auto bruxellois a attiré plus de 265 000 personnes en neuf jours, sur le site de Brussels expo. Une “pleine réussite” selon les organisateurs mais l’avis est plus mitigé côté visiteurs. Retour sur neuf jours placés sous le signe de l’automobile.
Le Salon de l’Auto bruxellois a ouvert ses portes le 14 janvier dernier, avant de les fermer hier à 19h, au grand dam des férus d’automobile. Après deux ans d’absence, il est revenu en force et, pour la Febiac (Fédération belge et luxembourgeoise de l’automobile et du cycle) qui organise l’événement, le pari a été tenu. Néanmoins, l’objectif fixé à 300 000 visiteurs n’a pas été atteint. Le Salon reste malgré tout l’événement indoor le plus important de Belgique. “Nous avons accueilli environ 30 000 personnes par jour” affirme Gabriel Goffoy, directeur de la Febiac.
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Cette édition anniversaire a rassemblé 95 % du marché automobile belge, dans une surface réduite par rapport aux années précédentes. Parmi les moments phares, il y a eu quinze représentations de premières mondiales et européennes et pour la première fois au Salon de Bruxelles, s’est déroulée l’élection de la voiture européenne de l’année.
C’est le SUV Jeep Avenger qui a été désignée “car of the year”. Cette compétition annuelle, qui a lieu depuis 1964, récompense la meilleure voiture en vente sur le sol européen. Plusieurs critères sont pris en compte comme le confort, la sécurité, l’économie, la performance environnementale, le comportement sur la route, la fonctionnalité, le plaisir de de la conduite, l’innovation technique et enfin le rapport qualité-prix.
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