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En France, malgré la crise sanitaire, l’immobilier de prestige se porte bien

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D’après Belles Demeures, le portail du groupe SeLoger spécialisé sur le segment prestige, les acheteurs sont toujours au rendez-vous en dépit de la pandémie.

 

En dépit de la pandémie, de l’inflation, de la crise énergétique et des soubresauts géopolitiques, le marché de l’immobilier de luxe se maintient. Les acheteurs, à la recherche d’un environnement privilégié, misent sur les maisons, bien plus que sur les appartements, d’après une étude de Belles Demeures. Faisant fi des embûches, l’immobilier de luxe poursuit la bonne dynamique qu’il avait déjà amorcée avant le Covid, et conserve son attractivité aux quatre coins du pays.

 

En effet, les prix du segment luxe ont augmenté de 1,9% entre juin 2021 et juin 2022, selon le dernier baromètre du portail Belles Demeures. Les acheteurs, tout comme les vendeurs, ont toujours confiance dans l’avenir avec 76% des candidats à l’accession qui estiment que leur projet aboutira au cours de l’année qui vient. Ce taux atteint même les 85% chez les vendeurs de biens de luxe. La notion de valeur refuge est plus que jamais d’actualité : 79% des vendeurs et 68% des acheteurs interrogés par Belles Demeures le considèrent comme un placement sûr.

 

A Paris

 

Avec l’épidémie de Covid-19 et les différents confinements, Paris a quelque peu perdu de son pouvoir d’attraction, y compris auprès des clients fortunés. En effet, un certain nombre de familles ont cherché à s’installer en banlieue Ouest, que ce soit à Saint-Cloud, Ville-d’Avray, Versailles, Saint-Germain-en-Laye ou encore au Vésinet, particulièrement dans des maisons avec jardin avec de l’espace pour télétravailler, ainsi qu’avec des établissements scolaires de qualité pour leurs enfants à proximité.

 

La résultante? Entre juin 2020 et juin 2022, les prix des maisons haut de gamme ont explosé dans les Hauts-de-Seine (+7,6 %, à 7.885 euros du m2) et plus encore dans les Yvelines (+18,6 %, à 5.896 euros), toujours selon l’étude menée par Belles Demeures.

 

Sur la Côte Atlantique

 

L’immobilier de luxe ne connaît pas la crise non plus du côté du bassin d’Arcachon, qui a détrôné Biarritz, avec des tarifs avoisinant ceux de la Côte d’Azur.

 

Thibault de Saint Vincent, président de Barnes (agence d’immobilier de luxe) et Jean Anselyn, directeur des quatres agences du bassin d’Arcachon commentent les prix observés ces derniers temps. Il faut compter “Pour toutes les villas avec belle vue sur mer, de 20 000 à 40 000 €/m2, en fonction de l’état du bien et de la taille du terrain. (…) Nous avons atteint jusqu’à 60 000 €/m2 à Saint-Jean-Cap-Ferrat, jusqu’à 50 000 €/m2 à Saint-Tropez/Cannes, Courchevel/Megève ou même au Cap Ferret, et jusqu’à 35 000 €/m2 à Biarritz/Saint-Jean-de-Luz.

 

Ils constatent que partout, les prix ont fortement augmenté ces deux dernières années, de 15% à 30% en moyenne. “La plus forte hausse en deux ans est cependant à mettre au crédit du bassin d’Arcachon, avec une progression de près de 40% des prix au Cap Ferret et au Pyla. C’est l’effet TGV – vous pouvez atteindre le bassin en 2h45 -, doublé de l’effet Covid. Avec la crise sanitaire, la plupart des résidences secondaires se sont en effet transformées, pour les acheteurs Français, en résidences semi-principales.

 

Autres destinations phare

 

Selon Thibault de Saint Vincent et Jean Anselyn, Le Perche revient très à la mode autour de villes comme Mortagne avec des propriétés avec 1 à 5 hectares de terrain qui se négocient de 50 0000 à 2 millions d’euros, en fonction de la superficie, du charme, de l’état du bâtiment ainsi que de la taille du parc. Il s’agit d’une région historique située à moins d’1h30 de Paris, qui a suscité un certain interêt après la crise sanitaire.

 

La Sologne est plus que jamais la région de prédilection des familles fortunées, notamment les chasseurs et on y trouve des propriétés de qualité à partir de 1 million et jusqu’à 10 millions d’euros pour les plus belles propriétés de chasse. Barnes a réalisé plus de 25 ventes en Sologne au cours des deux dernières années, à une clientèle principalement parisienne.

 

 

Lire aussi > UN PROJET IMMOBILIER DE LUXE À 250 MILLIONS D’EUROS VA VOIR LE JOUR À MARBELLA

 

Photo à la Une : © Wretman Estate[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row njt-role=”not-logged-in”][vc_column][vc_column_text]

D’après Belles Demeures, le portail du groupe SeLoger spécialisé sur le segment prestige, les acheteurs sont toujours au rendez-vous en dépit de la pandémie.

 

En dépit de la pandémie, de l’inflation, de la crise énergétique et des soubresauts géopolitiques, le marché de l’immobilier de luxe se maintient. Les acheteurs, à la recherche d’un environnement privilégié, misent sur les maisons, bien plus que sur les appartements, d’après une étude de Belles Demeures. Faisant fi des embûches, l’immobilier de luxe poursuit la bonne dynamique qu’il avait déjà amorcée avant le Covid, et conserve son attractivité aux quatre coins du pays.

 

En effet, les prix du segment luxe ont augmenté de 1,9% entre juin 2021 et juin 2022, selon le dernier baromètre du portail Belles Demeures. Les acheteurs, tout comme les vendeurs, ont toujours confiance dans l’avenir avec 76% des candidats à l’accession qui estiment que leur projet aboutira au cours de l’année qui vient. Ce taux atteint même les 85% chez les vendeurs de biens de luxe. La notion de valeur refuge est plus que jamais d’actualité : 79% des vendeurs et 68% des acheteurs interrogés par Belles Demeures le considèrent comme un placement sûr.

 

A Paris

 

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En dépit de la pandémie, de l’inflation, de la crise énergétique et des soubresauts géopolitiques, le marché de l’immobilier de luxe se maintient. Les acheteurs, à la recherche d’un environnement privilégié, misent sur les maisons, bien plus que sur les appartements, d’après une étude de Belles Demeures. Faisant fi des embûches, l’immobilier de luxe poursuit la bonne dynamique qu’il avait déjà amorcée avant le Covid, et conserve son attractivité aux quatre coins du pays.

 

En effet, les prix du segment luxe ont augmenté de 1,9% entre juin 2021 et juin 2022, selon le dernier baromètre du portail Belles Demeures. Les acheteurs, tout comme les vendeurs, ont toujours confiance dans l’avenir avec 76% des candidats à l’accession qui estiment que leur projet aboutira au cours de l’année qui vient. Ce taux atteint même les 85% chez les vendeurs de biens de luxe. La notion de valeur refuge est plus que jamais d’actualité : 79% des vendeurs et 68% des acheteurs interrogés par Belles Demeures le considèrent comme un placement sûr.

 

A Paris

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Hélène Cougot

Passionate about art and fashion, Hélène went to a fashion design school: the Atelier Chardon-Savard. She then completed her training with an MBA in Marketing at ISG. She has written for the magazine Do it in Paris and specializes in writing articles about luxury, art and fashion for Luxus +.

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