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Immobilier de luxe : Londres, capitale mondiale des propriétés ultra-luxueuses

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D’après étude du cabinet de conseil Knight Frank, Londres est la ville la plus populaire au monde en 2020 pour les achats de propriétés résidentielles ultra-luxueuses de plus de 10 millions de dollars, et ce malgré la pandémie et le Brexit. Les achats, au nombre de 201, ont augmenté de 3% dans la capitale britannique l’an dernier, tandis qu’ils ont plongé de 27% à Hong Kong et de 48% à New York, sachant que ces deux villes devançaient Londres l’année précédente.

 

Au total, les transactions pour ces résidences très haut de gamme ont atteint 3,7 milliards de dollars. La capitale britannique arrive même en tête pour la première fois en cinq ans sur le segment des propriétés de plus de 25 millions de dollars. 

 

Plus précisément, un tiers des acquisitions à Londres, pour les résidences de plus de 10 millions de dollars, ont été réalisées par des résidents au Royaume-Uni, soit une hausse de 12%. Les Européens ont également été nombreux à acheter une propriété de luxe grâce à la proximité avec Londres qui a permis un accès relativement facile malgré la crise sanitaire.

 

La capitale britannique est attractive en raison de prix immobiliers qui ont reculé depuis quelques années et grâce à la faiblesse de la livre face au dollar et à l’euro. 

 

«Le marché des résidences très haut de gamme à Londres a surmonté le Brexit et a même résisté à la pandémie, confirmant que la capitale britannique est la première destination pour les plus fortunés», souligne Liam Bailey, responsable de la recherche chez Knight Frank.

 

Une des transactions emblématiques de 2020 a été l’achat d’une résidence de 42 millions de livres à Belgravia, quartier chic au centre de Londres, par le magnat de l’acier indo-britannique Sanjeev Gupta, selon le Financial Times.

 

À noter que le marché américain des résidences de luxe a lui été au ralenti comme c’est souvent le cas durant les années d’élection présidentielle et en raison d’une longue paralysie du fait du Covid-19. Mais si New York en a fait les frais, les villes du bord de mer, comme Miami et Los Angeles, ont, elles, enregistré un bond des transactions.

 

L’étude de Knight Frank démontre également que les transactions sur les 12 principaux marchés dans le monde ont légèrement reculé (de 1%) sur un an, soit une baisse très faible compte tenu de l’ensemble des restrictions sanitaires.

 

Un phénomène qui se justifie par une forte demande des acheteurs dans leur pays d’origine qui ont réévalué leur besoin pendant la pandémie.

 

Lire aussi > LUXE : LES PERSPECTIVES DU SECTEUR IMMOBILIER EN 2021, SELON SAVILLS

 

Photo à la Une : © Presse[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

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