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S’exprimant auprès du magazine américain Vogue, Giorgio Armani a déclaré, pour la première fois, être prêt à envisager une éventuelle alliance, à condition que ce soit avec une autre entreprise italienne et non avec un groupe français.
“On pourrait imaginer une relation avec une importante entreprise italienne” a-t’il confié sans apporter davantage de détails mais expliquant que la pandémie a en quelque sorte changé sa vision et “a ouvert un peu les yeux” au groupe.
Dans l’entretien publié sur le site internet de Vogue, Roberta Armani, nièce de Giorgio qui travaille au sein de l’entreprise, s’est également exprimée, “ce pourrait être formidable, au final, d’avoir une importante coentreprise ‘Made in Italy’ dans le secteur de la mode”.
Cependant, celle-ci a précisé qu’elle n’était pas informée des projets de son oncle.
En revanche une chose est sure, un rachat par l’un des deux grands groupes français de luxe, LVMH et Kering est une option a exclure d’après le fondateur de la marque. ,Giorgio Armani ne suivra donc pas le chemin des autres marques italiennes comme Gucci, Fendi et Bulgari, même s’il admet que la stratégie d’indépendance qu’il a longtemps défendue n’était plus “aussi strictement nécessaire”.
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Photo à la Une : © Presse[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]
