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Ce mercredi, les titres du secteur du luxe démontrent encore une fois une évolution positive : LVMH a progressé de 0,59% à 515,80 euros, Kering de 1,16% à 584,10 euros et Hermès de 0,48% à 886,80 euros. Il semblerait alors que le secteur du luxe sorte la tête de l’eau après cette longue année compliquée vis à vis de la pandémie.
Ce mercredi 30 décembre, la bourse de Paris poursuit sa hausse avec 0,17% lors des premiers échanges malgré une légère baisse par rapport au début de semaine (1,20% lundi). À 9h35, l’indice CAC 40 progressait de 9,53 points à 5.621,32 points.
Les grands groupes du luxe se tiennent alors prêts pour débuter la nouvelle année dans de meilleures conditions, l’apparition de nouveaux facteurs non négligeables influençant cette optimisme.
En effet hier, l’accord sur les relations commerciales entre l’Union européenne et le Royaume-Uni à partir de 2021 a été entériné après de longues négociations, le texte sera ratifié par le Parlement en 2021. Sans oublier que les négociations entre le Royaume Uni et l’Europe viennent tout juste de s’achever.
Par ailleurs, le rapprochement entre l’Union européenne et la Chine en vue d’un accord d’investissement ne fait qu’enrichir l’espoir de croissance.
Mais notre monde aujourd’hui est surtout préoccupé par la récente commercialisation et utilisation du vaccin contre le virus qui a tant mis à mal l’économie et qui continue à peser.
En effet, pas plus tard qu’hier l’Allemagne a connu plus de 1.000 décès en 24 heures, c’est la première fois depuis le début de la crise sanitaire. En France, avec le déconfinement pour les fêtes et malgré les restrictions, certains départements de l’Est vont subir de restrictions plus strictes à partir du 2 janvier.
La pandémie est loin d’être terminée mais le vaccin constitue un espoir considérable pour tout acteur économique, même ceux du luxe.
Pour l’instant seuls les vaccins de Moderna et de Pfizer/BioNTech sont a priori autorisés à être utilisés, le second a d’ailleurs déjà été autorisé à être administré au Royaume-Uni à plus de 600.000 personnes depuis le 8 décembre.
Mais l’inconvénient de ceux-ci tient à leur accessibilité et leur méthode de conservation, ils ne peuvent être conserver à long terme qu’à très basse température (-20°C pour le premier, -70°C pour le second ).
Cependant un autre vaccin anti-Covid a été développé par le groupe AstraZeneca avec l’université d’Oxford, celui-ci est moins contraignant et plus accessible : soit environ 2,50 euros la dose et peut être stocké à la température d’un réfrigérateur.
Ce dernier est donc attendu avec impatience, notamment par le marché Parisien, et il ne lui manque plus que l’accord du gouvernement britannique pour être distribué.
En résumé, malgré une évolution positive des banques et des titres de luxe, la bourse parisienne n’est pas rassurée à 100 %, notamment à cause des problématiques liées aux vaccins, mais également à baisse de Wall Street hier malgré sa progression en début de semaine. Un sort également subit par la bourse de Tokyo.
Photo à la Une : © Bourse[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]