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Roselyne Bachelot, la ministre de la culture, a annoncé samedi 26 septembre l’abandon du projet initial, au profil d’un projet moins “pharaonique” et plus écologique. Des travaux de rénovation sont engagés à la place, pour un coût de 466 millions d’euros.
Le projet de restauration initial du Grand Palais, projet imaginé par le cabinet d’architectes Local Architectures Network (LAN) en 2013, avait pour objectif de transformer le Grand Palais. Ce projet ambitieux tendait à faire du Grand Palais une “machine à culture”, et d’accueillir jusqu’à 4 millions de visiteurs par an, contre un peu moins de 3 millions aujourd’hui.
Dans un contexte de crise sanitaire et économique, le projet a finalement été réorienté vers un chantier plus sobre, plus écologique, face à “des risques de dérives financières” liés à la crise sanitaire, ont annoncé la Réunion des musées nationaux-Grand Palais et le ministère de la Culture.
Le nouveau projet sera tourné vers la restauration plutôt que la transformation prévue initialement. “Il faut aujourd’hui davantage prendre en compte les considérations écologiques, avoir des espaces de circulation plus importants, plus Covid-compatibles”, a déclaré un proche de la ministre de la culture.
Le Grand Palais, édifié à Paris pour l’exposition universelle de 1900, est classé parmi les monuments historiques depuis novembre 2000, et accueille le Palais de la Découverte depuis 1937, ainsi que la nef centrale, classée au titre des monuments historiques en 1975, et est également morcelé par des galeries nationales et restaurants.
“Les destructions sont réduites au maximum, et le projet n’impose plus de creuser sous la nef ni dans les espaces boisés, classés et espaces verts protégés situés aux abord du monument”, précise la Réunion des musées nationaux-Grand Palais. Les rénovations prévoyaient également d’augmenter la capacité d’accueil de la nef jusqu’à 11 personnes.
Ce nouveau projet de restauration ne changera rien à l’installation sur le Champ-de-Mars du Grand Palais éphémère, construit pour accueillir les événements culturels le temps des travaux, et l’ouverture au public est toujours prévu pour le début de l’année 2021.
La réouverture du Grand Palais est prévue pour 2024 avec l’accueil des Jeux olympiques. L’intégralité du monument, y compris le Palais de la Découverte sera inauguré au printemps 2025
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Photo à la Une : © Bertrand Guay[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row njt-role=”not-logged-in”][vc_column][vc_column_text]
Roselyne Bachelot, la ministre de la culture, a annoncé samedi 26 septembre l’abandon du projet initial, au profil d’un projet moins “pharaonique” et plus écologique. Des travaux de rénovation sont engagés à la place, pour un coût de 466 millions d’euros.
Le projet de restauration initial du Grand Palais, projet imaginé par le cabinet d’architectes Local Architectures Network (LAN) en 2013, avait pour objectif de transformer le Grand Palais. Ce projet ambitieux tendait à faire du Grand Palais une “machine à culture”, et d’accueillir jusqu’à 4 millions de visiteurs par an, contre un peu moins de 3 millions aujourd’hui.
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Roselyne Bachelot, la ministre de la culture, a annoncé samedi 26 septembre l’abandon du projet initial, au profil d’un projet moins “pharaonique” et plus écologique. Des travaux de rénovation sont engagés à la place, pour un coût de 466 millions d’euros.
Le projet de restauration initial du Grand Palais, projet imaginé par le cabinet d’architectes Local Architectures Network (LAN) en 2013, avait pour objectif de transformer le Grand Palais. Ce projet ambitieux tendait à faire du Grand Palais une “machine à culture”, et d’accueillir jusqu’à 4 millions de visiteurs par an, contre un peu moins de 3 millions aujourd’hui.
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