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Bourse : LVMH stable, malgré la contre-attaque en justice contre Tiffany

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Dans le cadre du contentieux opposant le joaillier américain Tiffany au groupe français LVMH, ce dernier a déposé hier soir, le lundi 28 septembre, ses conclusions contre Tiffany auprès de la cour du Delaware. Le groupe met en avant les conditions non respectées dans le cadre de l’acquisition du joaillier, et les arguments fallacieux présentés par la partie adverse. Au lendemain de la contre-attaque en justice du numéro un mondial du luxe contre Tiffany, le titre LVMH se maintient à l’équilibre à 405,90 euros ce mardi matin à la Bourse de Paris.

 

Le géant du luxe LVMH a signé, en novembre 2019, un accord stipulant l’acquisition du joaillier américain Tiffany pour 16,2 milliard de dollars, soit 13,8 milliards d’euros. Certains événements incertains ont été exclus du contrat sur demande du joaillier, au préalable, pour sécuriser la finalisation de cet accord, tels que le mouvement des gilets jaunes, les manifestations de Hong Kong, ou les cyber-attaques, mais c’est finalement la crise sanitaire aura eu raison du joaillier américain.

 

Les effets de la pandémie ont été catastrophiques et durables pour Tiffany qui serait d’ailleurs accusé d’un paiement élevé de son dividende en pleine crise mondiale, alors que l’enseigne subissait des pertes importantes. Les raisons se suffisent à elles-mêmes pour interrompre cet accord, d’après le groupe LVMH, remplissant une des clauses du contrat, en cas de survenance d’une situation significativement défavorable.

 

Le groupe est confiant dans sa capacité à démontrer que les conditions de réalisation de l’acquisition ne sont pas réunies et que les arguments fallacieux soutenus par Tiffany sont totalement infondés” , déclare le géant du luxe mardi matin dans un communiqué.

 

Et contre toute attente, malgré ces différents rebondissements dans l’affaire, le titre du géant du luxe LVMH se maintient toujours à l’équilibre à la Bourse de Paris, soit à 405,90 euros sur l’indice CAC 40.

 

Le groupe du milliardaire Bernard Arnault aurait en effet reçu une lettre signée du Ministre de l’Europe et des Affaires étrangères en France Jean-Yves Le Drian, déjà en guerre commerciale avec les Etats-Unis, lui demandant d’interrompre momentanément cet accord et de le reporter pour ne pas prendre d’autres risques financiers. Le groupe français justifie ainsi cette décision de ne pas racheter le joaillier américain sur demande du gouvernement français et compte tenu de sa mauvaise gestion en temps de crise mondiale.

 

 

 

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Photo à la Une : © Tiffany[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row njt-role=”not-logged-in”][vc_column][vc_column_text]

Dans le cadre du contentieux opposant le joaillier américain Tiffany au groupe français LVMH, ce dernier a déposé hier soir, le lundi 28 septembre, ses conclusions contre Tiffany auprès de la cour du Delaware. Le groupe met en avant les conditions non respectées dans le cadre de l’acquisition du joaillier, et les arguments fallacieux présentés par la partie adverse. Au lendemain de la contre-attaque en justice du numéro un mondial du luxe contre Tiffany, le titre LVMH se maintient à l’équilibre à 405,90 euros ce mardi matin à la Bourse de Paris.

 

Le géant du luxe LVMH a signé, en novembre 2019, un accord stipulant l’acquisition du joaillier américain Tiffany pour 16,2 milliard de dollars, soit 13,8 milliards d’euros. Certains événements incertains ont été exclus du contrat sur demande du joaillier, au préalable, pour sécuriser la finalisation de cet accord, tels que le mouvement des gilets jaunes, les manifestations de Hong Kong, ou les cyber-attaques, mais c’est finalement la crise sanitaire aura eu raison du joaillier américain.

 

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Dans le cadre du contentieux opposant le joaillier américain Tiffany au groupe français LVMH, ce dernier a déposé hier soir, le lundi 28 septembre, ses conclusions contre Tiffany auprès de la cour du Delaware. Le groupe met en avant les conditions non respectées dans le cadre de l’acquisition du joaillier, et les arguments fallacieux présentés par la partie adverse. Au lendemain de la contre-attaque en justice du numéro un mondial du luxe contre Tiffany, le titre LVMH se maintient à l’équilibre à 405,90 euros ce mardi matin à la Bourse de Paris.

 

Le géant du luxe LVMH a signé, en novembre 2019, un accord stipulant l’acquisition du joaillier américain Tiffany pour 16,2 milliard de dollars, soit 13,8 milliards d’euros. Certains événements incertains ont été exclus du contrat sur demande du joaillier, au préalable, pour sécuriser la finalisation de cet accord, tels que le mouvement des gilets jaunes, les manifestations de Hong Kong, ou les cyber-attaques, mais c’est finalement la crise sanitaire aura eu raison du joaillier américain.

 

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