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Kering entrerait au capital du joaillier italien Vhernier

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D’après les informations révélées par le média italien MF Fashion, le groupe de luxe Kering prendrait une part de 49% dans le joaillier transalpin détenu par l’homme d’affaires et collectionneur d’art, Carlo Traglio.

 

Une opération qui suit de près l’annonce faite par le groupe Kering de sa prise de participation, à hauteur de 30% dans la Maison Valentino, la semaine dernière. 

Coutumier du fait, le groupe a toutefois refusé de commenter la nouvelle.

 

Une nouvelle prise de participation dans le Made in Italy

 

Après Valentino, une autre institution du savoir-faire italien de luxe serait en passe d’entrer dans le giron du groupe français Kering : Vhernier. 

 

Selon MF Fashion (MFF), média d’information italien dédié aux professionnels de l’industrie de la mode, le groupe vient de reprendre 49% du capital du joaillier originaire de Valenza ,dans le Piémont. 

 

Les porte-parole de la marque, contactés par MFF, ont refusé de commenter la nouvelle. De son côté Kering reste fidèle à sa ligne de conduite : “Nous avons pour principe de ne pas commenter les rumeurs financières”.

 

La nouvelle suit une annonce officielle cette fois, d’un rapprochement du groupe Kering avec Valentino

 

Fin juillet, le géant français du  luxe a acquis une participation de 30 % dans la maison de couture romaine, propriété du fonds d’investissement qatari Mayhoola, pour un montant de 1,7 milliard d’euros. L’opération comprend une option permettant de porter à 100 % le capital de la marque d’ici à 2028, les Qataris pourront, quant à eux entrer dans l’actionnariat de Kering.

 

Un joaillier anticonformiste

 

Vhernier a été fondée en 1984 à Valenza en tant qu’atelier d’orfèvrerie par Angela Camurati, une experte en pierres, et un sculpteur. 

 

Vhernier est rachetée en 2001 par la holding Aura, propriété de Carlo Traglio -entrepreneur et collectionneur d’art- et de son frère, Maurizio. 

 

Ces derniers parviennent à faire connaître au grand public les créations anticonformistes de la marque, conservant son identité ainsi que sa production entièrement italienne. 

La fondatrice, formée chez Gio Cardi, a conservé un rôle en tant que responsable de production et des artisans. 

 

Depuis l’ouverture d’une première boutique à Milan, via Montenapoleone, en 2002, la marque de bijoux s’est internationalisée et compte désormais 14 boutiques en propre dans 17 pays.  Chacune est située dans les quartiers les plus huppés des places du luxe, comme Paris, Capri, Londres, Venise, Genève, New York, Dubaï et Miami.

 

La Maison piémontaise s’est fait connaître dans la haute joaillerie par des créations épurées et sculpturales battant en brèche l’image traditionnelle de la filière tant par l’utilisation de matières inhabituelles (titane, ébène, aluminium…) que par leurs combinaisons (or rose, diamants naturels). 

 

Adepte des couleurs vives et audacieuse, le joaillier apprécie tout particulièrement l’usage de la cornaline avec ses reflets changeants.

 

La Maison a même développé des savoir-faire uniques comme “l’eyeliner pave”, un pavage de diamants où la pierre n’est retenue que par deux griffes au lieu de quatre. 

 

Vers un renforcement de l’offre joaillière pour Kering

 

Cette entrée avec une participation minoritaire importante pourrait signifier pour le groupe de luxe un renforcement de son offre joaillière. 

 

Le segment est en effet en forte croissance et recherché par les grandes maisons de couture. 

 

Dans cet univers joaillier et haute joaillerie, le groupe possède déjà le français Boucheron et l’italien Pomellato, respectivement acquis en 1999 et 2013.

A cela s’ajoute la marque de joaillerie chinoise Qeelin, créée par le groupe en 2004. 

 

Ce rapprochement pourrait permettre à Vhernier de pousser sa distribution au-delà de l’Europe et du Moyen-Orient, en Asie et en particulier en Chine. 

 

Ambition qu’avait partagé au journal l’Obs Isabella Traglio, directrice générale adjointe et nièce du propriétaire en 2019. 

 

Lire aussi > Mode : Kering acquiert 30 % de la Maison Valentino

Photo à la Une :  ©Presse[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row njt-role=”not-logged-in”][vc_column][vc_column_text]

 

D’après les informations révélées par le média italien MF Fashion, le groupe de luxe Kering prendrait une part de 49% dans le joaillier transalpin détenu par l’homme d’affaires et collectionneur d’art, Carlo Traglio.

 

Une opération qui suit de près l’annonce faite par le groupe Kering de sa prise de participation, à hauteur de 30% dans la Maison Valentino, la semaine dernière. 

Coutumier du fait, le groupe a toutefois refusé de commenter la nouvelle.

 

Une nouvelle prise de participation dans le Made in Italy

Après Valentino, une autre institution du savoir-faire italien de luxe serait en passe d’entrer dans le giron du groupe français Kering : Vhernier. 

 

Selon MF Fashion (MFF), média d’information italien dédié aux professionnels de l’industrie de la mode, le groupe vient de reprendre 49% du capital du joaillier originaire de Valenza ,dans le Piémont. 

 

Les porte-parole de la marque, contactés par MFF, ont refusé de commenter la nouvelle. De son côté Kering reste fidèle à sa ligne de conduite : “Nous avons pour principe de ne pas commenter les rumeurs financières”.

 

La nouvelle suit une annonce officielle cette fois, d’un rapprochement du groupe Kering avec Valentino

 

Fin juillet, le géant français du  luxe a acquis une participation de 30 % dans la maison de couture romaine, propriété du fonds d’investissement qatari Mayhoola, pour un montant de 1,7 milliard d’euros. L’opération comprend une option permettant de porter à 100 % le capital de la marque d’ici à 2028, les Qataris pourront, quant à eux entrer dans l’actionnariat de Kering.

 

Un joaillier anticonformiste

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D’après les informations révélées par le média italien MF Fashion, le groupe de luxe Kering prendrait une part de 49% dans le joaillier transalpin détenu par l’homme d’affaires et collectionneur d’art, Carlo Traglio.

 

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Selon MF Fashion (MFF), média d’information italien dédié aux professionnels de l’industrie de la mode, le groupe vient de reprendre 49% du capital du joaillier originaire de Valenza ,dans le Piémont. 

 

Les porte-parole de la marque, contactés par MFF, ont refusé de commenter la nouvelle. De son côté Kering reste fidèle à sa ligne de conduite : “Nous avons pour principe de ne pas commenter les rumeurs financières”.

 

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Victor Gosselin

Victor Gosselin is a journalist specializing in luxury, HR, tech, retail, and editorial consulting. A graduate of EIML Paris, he has been working in the luxury industry for 9 years. Fond of fashion, Asia, history, and long format, this ex-Welcome To The Jungle and Time To Disrupt likes to analyze the news from a sociological and cultural angle.

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